• source: http://www.20minutes.fr/economie/1716747-20151025-bourse-nouvelle-lubie-acheter-actions-supermarche

    eco2013: le TAFTA nous réserve bien des surprises.... il faut trouver des pigeons... 
    Le livret A va continuer de baisser, puis des taux négatifs (donner de l'argent pour qu'il reste sur votre compte), et en plus on ne pourra rien faire car l'argent liquide va être supprimé... AMERICAN DREAM !!!! ou plutôt le piège se referme....

    ECONOMIE Et le tout avec une jolie commission en prime...  

    Une carte cadeau action Apple à 25 dollars.Une carte cadeau action Apple à 25 dollars. - Stockpile

    M.P.

    « Je vais vous prendre pour 100 euros de Danone et mettez moi aussi 50 euros de Pernod-Ricard, madame la caissière ». On ne parle pas de yaourts ou d’apéritif mais bien d’actions cotées en bourse. Cette scène totalement surréaliste en France va devenir réalité aux Etats-Unis, où un entrepreneur a fondé une start-up pour permettre la vente d’actions en supermarché, explique Le Monde.

    Avi Lele a levé 15 millions de dollars pour créer Stockpile et lancer des cartes cadeaux vendues à 25, 50 ou 100 dollars dans les grandes surfaces pour acquérir des actions ou des parties d’action des grandes entreprises américaines comme Coca-Cola ou Apple. A ce montant, il faut ajouter celui de la commission, plutôt élevée, de 4,95 à 7,95 dollars.

    Vendues dans les magasins de jouets

    Le principe paraît simple : une fois la carte acquise, il faut entrer le code de 12 chiffres sur un site internet dédié et en quelques minutes, la somme achetée est convertie en actions.

    « La plupart des gens n’ont jamais eu l’opportunité de posséder des actions parce que cela est trop compliqué et onéreux de démarrer. Vous ne pouvez rien faire avec 25 dollars chez un courtier traditionnel », explique Avi Lele au Monde.

    Ces cartes cadeaux sont déjà disponibles dans les magasins Kmart et Office Depot. Bientôt, elles seront disponibles dans les magasins de jouets Toys R’Us. Au total, rapporte Le Monde, ces cartes seront vendues dans quelque 200 000 points de vente.

     

     


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  • source: http://www.20minutes.fr/monde/1716435-20151025-tony-blair-presente-excuses-erreurs-guerre-irak

     

    MONDE Dans une interview qui doit être diffusée dimanche, l'ex-Premier ministre reconnaît aussi une part de responsabilité dans l'émergence de Daesh...

    Tony Blair sur CNN, le 25 octobre 2015.Tony Blair sur CNN, le 25 octobre 2015. - CNN

    M.C.

    Tony Blair présente des excuses pour « les erreurs » de la guerre en Irak. Dans une interview à CNN, qui doit être diffusée dimanche, l’ancien Premier ministre britannique, au pouvoir en 2003 lors de l’invasion menée par les Etats-Unis en Irak, est revenu sur le conflit, reconnaissant aussi une part de responsabilité dans la montée de Daesh en Irak et en Syrie.

    « Je m’excuse pour le fait que le renseignement était faux », dit-il ainsi au sujet des informations qui ont précipité l’invasion américaine, selon des propos rapportés par plusieurs journaux britanniques. « Je m’excuse aussi pour certaines erreurs de planification et, bien sûr, pour notre erreur d’appréciation de ce qu’il se passerait une fois que l’on aurait fait tomber le régime [de Saddam Hussein]. Mais je trouve qu’il est difficile de s’excuser pour avoir renversé Saddam. »

    Responsabilité dans l’émergence de Daesh

    L’ex-Premier ministre, interrogé par le journaliste Fareed Zakaria, admet aussi des « éléments de vérité » dans les affirmations selon lesquelles l’invasion de l’Irak serait responsable de la montée en puissance de Daesh. « Bien entendu, on ne peut pas dire que ceux d’entre nous qui ont fait tomber Saddam en 2003 n’ont aucune responsabilité dans la situation de 2015 », concède-t-il.

    « Tony Blair s’est excusé pour le renseignement qui était faux et pour les erreurs de planification. Il a aussi toujours dit, et il le redit ici, qu’il ne pense pas que renverser Saddam était une erreur », a précisé au Guardian un porte-parole de l’ancien dirigeant, après l’interview. « Il n’a pas dit que la décision de renverser Saddam en 2003 "avait provoqué l’arrivée de Daesh" et a insisté sur le fait que le groupe Etat islamique était pratiquement inconnu fin 2008, quand al-Qaida était battu », a encore affirmé le porte-parole.

    Ces déclarations de Tony Blair ont été qualifiées « d’opération de communication » par la Première ministre écossaise Nicola Sturgeon, selon qui l’ancien dirigeant veut ainsi se prémunir des critiques avant la publication des conclusions de la commission d’enquête sur l’engagement controversé du Royaume-Uni dans la guerre en Irak. Cette commission, mise en place il y a six ans par le Premier ministre de l’époque, Gordon Brown, devait initialement remettre son rapport au bout d’un an. Des familles de soldats tués dans le conflit ont menacé de lancer une action en justice si une date n’était pas fixée prochainement.


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  • Source: http://www.20minutes.fr/politique/1716387-20151024-lea-salame-confie-dejeuners-charmant-francois-hollande

    Léa Salamé sur le plateau de «Ça se dispute» sur iTélé.Léa Salamé sur le plateau de «Ça se dispute» sur iTélé. - Jeff Lanet/iTélé

    F.F.

    On savait déjà que Maïtena Biraben avait partagé plusieurs repas avec François Hollande, pour le convaincre de participer au Supplément, la saison dernière, sur Canal +. Ce samedi, c’est Léa Salamé, qui indique dans une interview au magazineCharles avoir déjeuné par deux fois avec le Président.

    « François Hollande peut se montrer charmant, et c’est bien le vrai danger de ce genre de rencontres », confie la journaliste de France Inter, qui a profité de deux déjeuners avec le Président et en compagnie d’autres journalistes de la radio.

    « Répartie » et « capital sympathie »

    « Je me suis retrouvée à sa table, à l’écouter me confier qu’il m’écoute chaque matin sur France Inter. Je peux légitimement en douter, mais quand il fait référence à trois de mes récentes interviews, ça montre sa maîtrise », témoigne la chroniqueuse d’On n’est pas couché. « On peut lui reprocher plusieurs choses sur le plan politique stricto sensu, mais ni sur sa répartie, ni sur son capital sympathie », estime Léa Salamé.

    François Hollande avait également invité à sa table des journalistes sportifs en février dernier.


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  • eco2013: Le commentaire de Gneu à la fin est très pertinent... "salops de pauvres"

    source: http://lesmoutonsenrages.fr/2015/11/12/directive-brrd-vos-compte-vont-etre-ponctionnes-comme-a-chypre-et-voici-ceux-qui-sont-concernes/

    Directive BRRD: vos compte vont être ponctionnés comme à Chypre, et voici ceux qui sont concernés!

    banksters-on-a-normal-day

    La directive BRRD permet à une banque en situation de faillite de ponctionner les comptes de ses clients pour se renflouer, et elle entre en vigueur en France, nous l’avons dit. Mais au-delà de sa présentation générale, il faut se plonger dans le texte la directive pour mieux appréhender les risques qu’elle fait peser sur nos comptes bancaires. Qui est visé, quels produits financiers sont concernés, voici les informations à connaître à l’avance plutôt que de les découvrir le jour même.

    Les mots clés à retenir, que l’on retrouve tout au long de ce texte, sont « comptes couverts » et « comptes éligibles ». Ils sont explicités dans le considérant 111 : « Si les dépôts couverts sont protégés des pertes en cas de résolution, d’autres dépôts éligibles sont potentiellement disponibles aux fins de l’absorption des pertes. » Les « comptes couverts » sont les comptes protégés de toute ponction, ceux comptant moins de 100.000 euros. Nous avons déjà expliqué ici l’aspect illusoire de cette garantie, n’y revenons pas. Les « comptes éligibles » sont précisément ceux dépassant cette somme et qui seront donc soumis à des ponctions plus ou moins importantes. Voici pour le vocabulaire.

    Ensuite, quels types de placements sont concernés ? L’article 44 (« Champ d’application de l’instrument de renflouement interne »), dans son point 2, exclut, si on lit bien, les OPCVM. Cela semble logique : vendre massivement les portefeuilles d’actions ferait chuter les cours de bourse, ce n’est pas la peine de rajouter une crise à une autre ! De plus, vendre les actions de ses clients se révèle, pour une banque, une opération plus complexe qu’une simple ponction de leurs comptes, elle s’expose à des recours juridiques (il s’agit d’une vente forcée). Dans la même logique, même si nous n’en avons pas trouvé explicitement mention, l’assurance-vie semble exempte de cette menace. La vente massive de ce produit affecterait le marché des obligations souveraines, ce qui ne manquerait pas de mécontenter l’Etat. Ce sont donc bien les comptes courants et les livrets qui sont concernés.

     

    Autre élément à prendre en compte : les entreprises n’y échapperont pas, enfin plus précisément les PME, même s’il est recommandé de ne pas les viser en premier. Le considérant 111 précise ainsi : « Afin d’assurer un certain niveau de protection aux personnes physiques et aux micro, petites et moyennes entreprises, les dépôts éligibles qu’ils détiennent au-delà des dépôts couverts devraient bénéficier d’un niveau de priorité plus élevé que les créances des créanciers ordinaires non garantis et non privilégiés en vertu du droit national régissant les procédures normales d’insolvabilité. »

    La formulation « micro, petites et moyennes entreprises » se retrouve à de nombreuses reprises dans le texte de la directive, elle désigne les entreprises de moins de 250 personnes et dont le chiffre d’affaires annuel n’excède pas 50 millions d’euros selon la définition de l’UE ; elles ne passeront donc pas à travers les ponctions. Etonnement, la formule « grande entreprise », ou un synonyme, ne s’y trouve pas, elles semblent ainsi complètement protégées. Il est vrai que si leur trésorerie, qui se compte en millions ou en milliards d’euros, risquait de disparaître du jour au lendemain, elles chercheraient à s’installer ailleurs. On le voit, la directive protège les « gros » (l’Etat, les grandes entreprises, cotées ou non), et vise les « petits » (particuliers et TPE/PME). On nage en plein « capitalisme de connivence », faut-il s’en étonner ?

    Source: Goldbroker.fr

     

     

    • Bonjour,

      Les grandes banques ne peuvent pas être en difficultés puisqu’elles créent de la monnaie par le mécanisme de l’emprunt.

      Quand on prétend ou prévoit prélever un peu de l’épargne des gens, ce n’est pas pour renflouer une banque, c’est juste dans le but inavoué d’appauvrir encore plus les travailleurs et les rendre ainsi encore plus dépendants de leur travail.

      Mais on peut également imaginer que les lobbys se cachent derrière ces annonces de prélèvement sur l’épargne. Car la plupart des gens, pour éviter un tel prélèvement à venir, ne voient qu’une seule solution : dépenser ou anticiper un achat. Ce qui est dépensé ne pourra plus être prélevé. Finalement, les lobbys auront gagné : en générant la peur, ils auront augmenté la consommation des ménages. Est-ce la solution ? Je ne crois pas.

      Retirer son argent des comptes ? Ca ne sert à rien. Vous allez conserver quelques liasses de billets chez vous mais lorsque vous voudrez les utiliser, ils ne seront plus reconnus car d’autres billets (voire d’autres monnaies) auront fait leur apparition entre temps.

      Investir dans les MP ? Qui voudra de votre or le jour où vous aurez besoin de le reconvertir ? Et les taxes à la revente seront décourageantes.

      Investir dans les biens tangibles tels que la terre et la pierre ? Mais s’il y a un crash systémique, vous croyez vraiment que votre acte notarial de propriété aura de la valeur ? Vous ne pourrez pas empêcher que l’on vous squatte votre bâtiment ou qu’on vous vole vos terres.

      Alors que faire ? A mon avis, le mieux est de ne rien faire. On joue avec votre peur.

      N’y a-t-il pas moyen de se créer entre nous une banque populaire alternative sûre ? Une banque qui ne prêterait pas d’argent mais qui ne serait qu’un coffre.


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  • Source: http://www.20minutes.fr/economie/1728751-20151112-331-restaurants-buffalo-grill-vendre

    GRILLADES La chaîne est leader de la restauration à thème avec 331 restaurants en France...

    Le restaurant Buffalo Grill de Coudekerque-Branche, près de Dunkerque.Le restaurant Buffalo Grill de Coudekerque-Branche, près de Dunkerque. - Google Maps

    20 Minutes avec AFP

    Pour une valeur de 400 millions d’euros, la chaîne française de restauration spécialisée dans la grillade, est à vendre. Selon le quotidien Les Echos, l’opération de vente des restaurants a été engagée par les propriétaires. Buffalo Grill est le leader de la restauration à thème avec 331 restaurants - succursales et franchisés - 522 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014 et 6.560 salariés.

    Les propriétaires ont reçu « des marques d’intérêt de fonds français et anglo-saxons », précise les Echos. Contacté par l’AFP, Buffalo Grill n’a pas souhaité confirmer. Créé en 1980, le groupe a été racheté en septembre 2008 par le fonds d’investissement Abenex Capital (en tant qu’actionnaire majoritaire), la société de gestion de portefeuille Nixen Partners et plus de 200 cadres de l’entreprise.

    30 millions d’euros de crédit

    En mai dernier, Buffalo Grill avait annoncé l’obtention d’une ligne de crédit de 30 millions d’euros pour poursuivre ses investissements et sa politique d’ouverture de nouveaux restaurants. Depuis un an, la chaîne s’est positionnée notamment sur le marché du burger avec l’ouverture en 2015 de quatre établissements spécialisés dénommés « Buffalo Burger », installés à Lille, Chartres, Amiens et Bordeaux.


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