• Ajoutée le 8 mars 2016

     


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  • Source: http://news.radins.com/actualites/flunch-la-javel-danssauce-au-poivre,17923.html?utm_source=newsletter_jt_17h&utm_medium=email&utm_campaign=06-02-16

    Par jeanba.leroux le 29 janv. 2016 | 13 011 Vues

    Pas vraiment le meilleur ingrédient pour faire une sauce au poivre réussie ! Une enquête vient d'être ouverte dans un restaurant Flunch de Seine-Maritime.

    Le restaurant a été fermé, et une enquête de police ouverte. (c) Shutterstock

    Flunch : un restaurant de Seine-Maritime intoxique ses clients à la javel

    Les clients intoxiqués ne retourneront pas « fluncher » de si tôt. Le restaurant Flunch de Montivilliers, situé près du Havre, en Seinte-Maritime, a une drôle conception de la sauce au poivre. Son secret ? Mettre un peu d'eau de javel dans sa sauce. Sauf que cette pratique culinaire n'a pas satisfait les clients.

    Incroyable, non ? Certains d'entre eux se sont plaints mardi de violents maux d'estomac, après avoir déjeuné dans ce restaurant. Quatre personnes au total ont été évacuées à l'hôpital Jacques Monod du Havre. Sur place, les médecins se sont rendu compte que les clients s'étaient intoxiqués à la javel.

    Des pastilles d'eau de javel retrouvées dans la sauce au poivre

    La responsable, c'est la sauce au poivre du restaurant. Une source policière aurait en effet déclaré qu'une ou plusieurs pastilles d'eau de javel avaient été retrouvées, partiellement dissoutes, dans cette sauce, en cuisine. Bad buzz pour la chaîne, qui ne cesse de promouvoir une alimentation saine dans ses restaurants !

    Pour pallier à une intoxication générale, une centaine de personnes auraient été confinées, afin d'être examinées par les médecins. Quant au restaurant, il a bien évidemment été fermé, et une enquête de police a été ouverte. Pendant ce temps-là, la direction de Flunch assure qu'aucun restaurant n'utilise de javel pour les sauces au poivre !


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  • Source: http://www.20minutes.fr/economie/1779537-20160203-ciment-lafargeholcim-va-restructurer-reseau-france-supprimer-200-postes

    Le groupe cimentier LafargeHolcim, dont le siège est en Suisse, ..

    Devant une usine du cimentier français Lafarge, le 7 avril 2014 à ParisDevant une usine du cimentier français Lafarge, le 7 avril 2014 à Paris - FRANCK FIFE AFP

    © 2016 AFP

    Le groupe cimentier LafargeHolcim, dont le siège est en Suisse, a annoncé mercredi un projet de restructuration de son dispositif industriel en France pour répondre à la baisse du marché du ciment, prévoyant 117 millions d'euros d'investissements d'ici fin 2017 et 202 suppressions de postes sur deux sites.

    Le projet présenté par Lafarge France prévoit d'une part la modernisation de l'usine de Martres-Tolosane (Haute-Garonne) et d'autre part la transformation des cimenteries de La Couronne (Charente) et du Havre (Seine-Maritime) en simples centres de broyage, indique l'entreprise dans un communiqué.

    Au total, 260 salariés sont concernés sur les deux sites qui vont être reconvertis, soit 116 à La Couronne et 144 au Havre, a-t-on précisé de source syndicale.

    La direction «a annoncé en conserver 31 sur le site du Havre (Saint-Vigor d'Ymonville, NDLR) et 27 sur le site de la Couronne», a déclaré à l'AFP Sylvain Moreno, délégué central CGT de Lafarge Ciment.

    Donc, «il y aurait 202 salariés concernés pour être reclassés» ou qui partiraient via des démissions ou des ruptures conventionnelles, a-t-il ajouté, confirmant une information de Sud-Ouest.

    L'annonce a été faite mardi en comité central d'entreprise et a été déclinée mercredi dans les comités d'entreprise locaux.

    Dans le cadre de son projet, le groupe indique qu'il a prévu d'investir 117 millions d'euros d'ici la fin 2017 «pour maintenir un réseau d'usines, pérennes, performantes et compétitives en France».

    La cimenterie de Martres-Tolosane sera ainsi «modernisée avec des équipements plus performants en matière d'efficacité énergétique et environnementale».

    Sur les deux sites de La Couronne et du Havre, 49 départs en retraite sont prévus, a-t-on appris auprès de l'entreprise, et des «solutions de reclassement en France» seront proposées aux 153 autres salariés.

    Pour le délégué CGT, c'est «l'aboutissement d'une stratégie élaborée depuis plusieurs années et qui consiste in fine à importer la matière première du ciment, le clinker». «Pour Le Havre, le clinker va être alimenté par la Grèce et l'Espagne. Ce n'est plus dans la philosophie de faire du ciment en France», estime-t-il.

    Les difficultés du site havrais vont être aggravées par l'ouverture prochaine d'un centre de broyage concurrent près du port du Havre, a indiqué à l'AFP son directeur Didier Vinchent.

    Le délégué CGT redoute une fermeture «progressive» à plus long terme des deux sites, comme ce fut le cas pour la cimenterie de Frangey dans l'Yonne. Il se dit «très inquiet» pour le personnel, en évoquant, à propos de Frangey, des tentatives de suicide, des divorces et des hospitalisations après l'annonce de la fermeture.

    «LafargeHolcim vient allonger la série d'annonces de suppressions d'emplois en France, y compris dans le même bassin d'emplois», a commenté de son côté auprès de l'AFP Philippe Springinsfeld, coordinateur CFTC.

    «Au-delà de ces annonces qui sont une tragédie pour les salariés et leurs familles, la CFTC est très inquiète de la réalité de la situation économique de notre pays. Combien d'emplois vont devoir être sacrifiés avant que l'Etat ne prenne conscience de la gravité de la situation de notre pays?», s'est-il interrogé.

    Lafarge France souligne que «depuis 2008, le marché cimentier français est confronté à une baisse structurelle (-30%) qui induit une surcapacité de production».

    «Le marché français du ciment est historiquement bas, au même niveau qu'il était en 1960», a affirmé M. Vinchent.

    Cette situation conduit Lafarge France à «ajuster son réseau de cimenteries au marché», malgré des «efforts importants de compétitivité menés dans chacun de ses sites», souligne le groupe.

    Les négociations concernant les mesures sociales débuteront le 15 février, a-t-on précisé de source syndicale.

    Lafarge France emploie plus de 4.500 salariés répartis sur plus de 400 sites, dans trois activités (ciments, granulats, bétons).


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  • Mise en ligne le 24 oct. 2010


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  • Source: http://news.radins.com/actualites/le-paiement-especes-sera-bientot-hasbeen,17722.html?utm_source=newsletter_jt_17h&utm_medium=email&utm_campaign=25-01-16

    Par Paolo Garoscio le 25 janv. 2016 | 3 985 Vues

    "Faire la monnaie", "compter les centimes", "faire l'appoint"... Les nouvelles générations vont probablement ne jamais utiliser ces expressions, car les espèces sont vouées à l'extinction. Mais contrairement à ce qu'il en est pour les animaux, cette extinction est non seulement appréciée par l'État, mais elle est en plus incitée par lui. Car sans les espèces, pas moyen d'échapper à l'impôt.

    Les Français payent de moins en moins en espèces, ce qui va conduire à leur extinction - (c) Shutterstock

    Plus que dix ans à vivre pour les espèces

    Le paiement en espèces perd du terrain face aux nouveaux types de paiement, et surtout face à la carte de crédit. Si certaines boutiques n'acceptent toujours pas la carte bancaire en dessous d'un certain montant d'achat, le paiement sans contact commence à faire changer les habitudes, car il n'y a pas de minimum pour payer sans contact.

    Il existe un maximum pour le paiement NFC : 20 €. De fait, il remplace les billets et la monnaie dans les habitudes et le coeur des Français. Si 62 % des paiements étaient encore réalisés en liquide en 2005, ils ne sont plus que 50 % en 2015. De quoi conforter la volonté de Bercy et des États en général : la fin des espèces dans le monde.

    La fin du paiement en liquide, panacée de tous les maux ?

    Si personne ne lutte contre la fin des espèces, c'est pour plusieurs bonnes raisons. À commencer par celle soulevée par John Cryan, patron de la Deutsche Bank, au Forum Economique de Davos : les espèces, c'est cher. Il faut les produire, les imprimer et lutter contre la contrefaçon... Du coup, il estime que le cash n'a plus que 10 ans à vivre.

    Le Fisc, lui, s'en frotte les mains. Pas uniquement Bercy, bien évidemment, mais tous les fiscs de tous les pays. Sans espèces, pas de paiement au black, donc pas de risque d'éviter de payer les impôts, principalement la TVA. Tous les autres modes de paiements sont totalement traçables, vérifiables, analysables... La hantise des fraudeurs en somme...


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