• ECO2013: La majeure partie des pays qui ne sont pas dans la Zone EURO, sont Protestants ? Surprenant ?
    Serions nous dans une guerre de religions maquillées ???!!!

    La majeure partie des pays catholiques ont l'Euro....

     Les Religions et l'Euro

     

     

     

     


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  • Je vous propose de créer une entité en capacité de discuter avec YouTube dans l'objectif de trouver des accords pour que le droit soit respecté..

    Le droits des auteurs dont les oeuvres peuvent éventuellement être utilisés dans les vidéos mais aussi les droits de ceux qui les utilisent pour créer de nouveaux contenus et qui voient leur propres droits d'auteurs spoliés par le système mis en place par Youtube..

    En envoyant juste un mail à ytresistance@fujixguru.fr vous serez informés des suites qui seront données à cette pure et simple restriction de la liberté d'expression imposée par YouTube !

    Ne laissez pas les sociétés commerciales décider de ce qui est bon pour vous et de ce qui est légal ou non ! la Loi ne se décrète pas dans des accords commerciaux !

    La liberté est en danger...

    ps : faisant partie d'un réseau, je ne suis visiblement pas en mesure de publier cette vidéo sans qu'elle soit monétisée par le réseau. Je m'engage à ce que l'intégralité des revenus qu'elle produira soit utilisée à cette lutte.


    Youtube: Publiée le 20 déc. 2013


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  • Source:
    http://www.enquete-debat.fr/archives/comment-renverser-legalement-loligarchie-actuelle-21673

    A quoi sert-il de se battre entre nous pour des élections voulues par l’oligarchie, alors que ces élections sont jouées d’avance (ce sera l’UMP ou le PS) et ne changeront rien à notre avenir ? Le constater, c’est déjà prendre conscience que nous ne sommes pas en démocratie, et que la priorité absolue consiste à rétablir la démocratie dans notre pays. Pour cela, il s’agit de réfléchir à la question suivante : Comment renverser légalement l’oligarchie actuelle ? Voici quelques idées, n’hésitez pas à vous prononcer sur cette question cruciale pour notre avenir.  INTRODUCTION

    Donc, pour lancer le débat, précisons tout de suite qu’un certain nombre de preuves accréditent l’idée que nous ne sommes pas en démocratie :
    - le Parlement et le gouvernement ont vu leur pouvoir transféré en bonne partie à l’Union Européenne
    - les Parlementaires doivent suivre des consignes de leur parti plutôt que de voter ce qu’ils croient être bon pour le pays
    - l’absence de proportionnelle empêche à une bonne partie du corps électoral d’être représenté
    - il existe une oligarchie qui se partage les pouvoirs et qui est irresponsable devant le peuple (voir la conférence d’Yvan Blot)
    - l’élection présidentielle n’est plus la rencontre d’un homme et d’un peuple, mais la rencontre des deux principaux partis avec le peuple à cause de multiples entraves à la libre candidature (présélection des médias, de l’argent, des 500 signatures, de la publication des signatures, etc.), voir l’interview d’Etienne Chouard
    - les médias (et surtout la télévision) ont pris en quelques dizaines d’années le premier des pouvoirs, sans la moindre légitimité et sans le moindre contre-pouvoir (voir ma conférence à ce sujet)

    Cette oligarchie est donc en place et bien en place, mais comment la déloger légalement ?
    Il ne s’agit pas de compter sur une insurrection généralisée, le fameux “grand soir”, ou sur une crise de l’euro, de l’Union Européenne, des banques, ou de tout cela à la fois. Il s’agit d’être maître de notre destin, en tant que peuple, et par conséquent de ne pas attendre que le pire se produise pour enfin espérer et se mobiliser. Il s’agit de respecter la loi, donc d’être non-violent, non-raciste, etc. Mais que faire ?, comme aurait dit Lénine.

    LES TERRAINS
    Il convient peut-être de regarder du côté des terrains qui offrent une marge de manœuvre. Quels sont-ils ?

    1er terrain avec marge de manœuvre : la consom’action
    Chaque fois qu’on consomme un bien ou un service plutôt qu’un autre, on vote pour une entreprise plutôt qu’une autre, et ce pouvoir, aussi infime soit-il, reste un pouvoir dont le votant ne dispose même plus, puisque quoi qu’il vote, rien ne change ou presque, l’oligarchie se partageant le pouvoir.
    Le problème de la consom’action réside dans son pouvoir, assez faible, à moins de considérer le long terme ou bien un mouvement de masse, mais cela reste très peu probable.

    2ème terrain avec marge de manœuvre : la société civile
    L’IPJ (institut Pour la Justice) le démontre bien en ce moment, avec son pacte 2012 signé par plus d’1 million de personnes, une association peut avoir du poids dans la société, dans les médias, et peser dans le débat politique afin d’influencer directement ou indirectement les candidats. Problème : ces associations mettent du temps à se créer, et surtout à récolter les dons nécessaires à leur fonctionnement. A moins de tomber tout de suite sur un mécène ou une grande entreprise pour financer, mais l’association ou l’ONG perd alors son indépendance et/ou sa crédibilité. C’est toutefois un moyen crédible pour influencer l’oligarchie, mais peut-être pas pour la renverser.

    3ème terrain avec marge de manœuvre : Internet
    Voici le terrain le plus prometteur, encore faut-il savoir en faire bon usage. L’oligarchie est très présente sur Internet, et cherche sans cesse à limiter les libertés sur la toile (ACTA, Hadopi et cie). Pour autant la marge de manœuvre actuelle est presque totale, notamment avec les réseaux sociaux qui démultiplient les effets habituels du net. D’ailleurs, le “printemps arabe” (même si cette expression a été forgée avant l’arrivée au pouvoir des islamistes) est en grande partie due à ces réseaux sociaux. On pourrait citer bon nombre d’autres exemples qui prouvent leur puissance potentielle. Mais ce qui est vrai pour des pays en voie de développement l’est-il pour un pays comme la France ? ECO2013 est persuadé que nous sommes aussi manipulé par ses réseaux sociaux, ATTENTION!!!! c'est aussi un excellent moyen de nous ficher: Nous exprimons nos idées, nos pensées politiques, etc... Au fait, qui détient FACEBOOOK ?

    LES STRATEGIES
    Une stratégie qui viserait à renverser l’oligarchie légalement se placerait forcément dans une relation du faible au fort. Comment David a-t-il tué Goliath ? Comment Mc Donald’s est-il en train de trembler à cause d’une petite vidéo de rien du tout apparemment, mais visionnée près d’1 million de fois (sans compter les nombreuses copies) ? D’ailleurs il n’est pas étonnant que cette action provienne d’une ONG, devenue média pour l’occasion. Les casquettes ont tendance à se superposer, et bien malin celui qui sait différencier un média d’une ONG d’une entreprise.

    1ère stratégie : diviser pour mieux régner
    Il existe de nombreuses manières de diviser l’oligarchie, il suffit pour cela d’opposer une de ses composantes à une autre. Après tout, l’oligarchie ne se prive pas de diviser le peuple pour mieux régner sur lui. Cela dit cette solution paraît a priori difficilement applicable, vu les marges de manœuvre dont on dispose.

    2ème stratégie : l’union fait la force
    La formule magique que tous ceux qui luttent contre l’oligarchie cherchent sans l’avoir trouvée pour l’instant, et qui leur permettrait d’être tous réunis contre un ennemi commun. Mais vu que l’oligarchie est puissante (par définition), et qu’elle sait diviser pour mieux régner (voir point précédent), les uns se croient de gauche, les autres de droite, ou jugent les autres infréquentables pour telle ou telle raison invoquée par l’oligarchie, ou trop focalisée sur un point précis, ou trop généraliste, bref, personne ne travaille en commun et l’oligarchie reste au pouvoir.
    Pourtant, il existe des sujets où tout le monde est d’accord, en apparence tout du moins, il s’agit des points cités au début de cet article, à savoir ce qui définit une oligarchie. Il s’agit d’un programme commun qui pourrait être appliqué par tous ceux qui prétendent lutter contre l’oligarchie. L’union des leaders des différents mouvements permettrait sans doute de renverser l’oligarchie, le problème vient du fait que les leaders ne veulent pas faire alliance, tout comme ceux qu’ils représentent. L’oligarchie peut continuer de dormir tranquille.

    3ème stratégie : chercher le plus petit dénominateur commun et/ou la meilleure faille du système
    Là nous sommes au cœur de ce qui devrait faire une stratégie, et chacun a sa réponse : sortir de l’UE, virer les sionistes, ou les islamistes, nationaliser les banques, mettre en prison je ne sais quel oligarque… Problème : cela n’est pas une stratégie, c’est un vœu pieux, et ça ne changerait pas grand chose au fait que l’oligarchie règnerait toujours en maître. Quand David terrasse Goliath, il a identifié sa faiblesse, et il va l’atteindre facilement. Quand bien même une des faiblesses de l’oligarchie serait identifiée, cela ne suffit pas à en faire une stratégie, il faut trouver LA faiblesse du Système, son talon d’Achille. Quels moyens faut-il pour parvenir à la mettre en œuvre ? Dispose-t-on de la marge de manœuvre suffisante ? Sommes-nous assez nombreux ? Je vous renvoie à la question posée au parti de M. Asselineau, l’UPR, qui veut que la France sorte de l’UE. Peut-être, mais comment ? Certainement pas en faisant 0,01% à une élection gérée par le système de A à Z. Il faut contourner le système, le prendre à son propre piège. Et même si nous sortions de l’UE, l’oligarchie serait toujours en place.

    CONCLUSION

    Il me semble clair après cette courte démonstration qu’un lobby de citoyens doit naître, sous la forme d’une ONG, qui permettrait de rassembler en quelques mois au minimum 1 million de Français, dont les intérêts sont bafoués au quotidien, afin de faire bouger les choses voire de renverser l’oligarchie. Cela pourrait arriver si ces Français sont déterminés, si les valeurs qu’ils partagent transcendent leurs clivages, et s’ils ont choisis la bonne stratégie, la bonne faiblesse du Système. Au départ, il n’y aurait qu’une poignée de citoyens, plus déterminés et mieux informés que les autres, qui détermineraient la meilleure stratégie à suivre, les moyens de la mettre en œuvre et de la faire connaître au plus grand nombre. Dès lors, plus rien ne pourrait arrêter ce mouvement inexorable.


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  • Créé le 23/12/2013 à 10h40 -- Mis à jour le 23/12/2013 à 11h10
    Exposition "La Fed a 100 ans" au Musée américain de la Finance, à New York, le 17 décembre 2013

    Exposition "La Fed a 100 ans" au Musée américain de la Finance, à New York, le 17 décembre 2013 Stan Honda AFP

    Washington - Il y a 100 ans jour pour jour, le 23 décembre 1913, le président américain Woodrow Wilson signait la loi créant la Réserve fédérale, la Banque centrale américaine qui allait devenir la plus puissante institution financière de la planète.

    Plusieurs conférences, une exposition au Musée américain de la Finance à New York, un site internet conçu pour l'occasion commémorent ce centenaire de la Fed.

    Au XIXe siècle aux Etats-Unis, jusqu'à 700 banques émettaient leur propre monnaie et il n'était pas rare que les clients d'une banque se ruent au guichet pour retirer leurs avoirs tous ensemble à la moindre inquiétude, provoquant des faillites en cascades.

    Deux tentatives de création de Banque centrale avaient fait long feu. L'une, initiée dès 1791 du temps de George Washington et dont Thomas Jefferson ne voulait pas. L'autre, enterrée en 1836 par le président Andrew Jackson qui se méfiait d'une puissance financière centralisée.

    Après une sévère panique bancaire en 1907, «un effort national concerté pour résoudre des problèmes d'élasticité de la monnaie» est lancé, expliquait récemment un responsable de la Fed, Jeffrey Lacker.

    L'idée d'une banque des banques voit le jour en novembre 1910 sur une île privée du nom de Jekyll Island, au cours d'une réunion secrète entre une poignée de banquiers influents et de dirigeants en Géorgie.

    Il faudra encore plusieurs ébauches de loi, la persévérance d'un élu influent, Carter Glass, et l'élection du président Wilson pour que le pays s'accorde en 1913 sur cette réforme fondamentale alors que les Etats-Unis sont en passe de devenir la première économie mondiale.

    Territoire inconnu

    Ben Bernanke, l'actuel président de la Fed, aime à dresser un parallèle entre la crise financière de 1907 et celle de 2008.

    «La crise que nous avons affrontée il y a cinq ans était par bien des points analogue aux paniques auxquelles les Banques centrales ont fait face pendant des siècles», a-t-il encore rappelé à l'occasion d'une cérémonie commémorant le centenaire de l'institution lundi.

    Créature du Congrès, la Fed est une institution monétaire indépendante qui fournit des services financiers aux banques, supervise et régule le secteur bancaire et remplit une mission de politique monétaire, s'efforçant de maintenir des taux bas et des prix stables. Elle agit aussi en prêteur de dernier ressort. En 1978, un amendement lui a ajouté l'objectif de veiller au plein emploi.

    La Grande Dépression des années 30, «la plus grande catastrophe économique de l'histoire américaine», selon les mots de Ben Bernanke, a été une des heures noires de la Fed.

    Parce que la Banque centrale voulait préserver l'étalon or, sa «politique monétaire restrictive a provoqué une chute des prix, de la production et de l'emploi», rappelait récemment M. Bernanke, qui fut professeur d'économie.

    «Il faut garder cela à l'esprit lorsqu'on considère les réponses de la Fed à la crise de 2008-2009», ajoutait-il, justifiant les largesses de sa politique monétaire expansionniste pour pallier l'éclatement de la bulle immobilière, la contraction du crédit et éviter les faillites retentissantes d'institutions financières.

    Dans les années 80, la Grande Inflation a constitué une autre période de test pour la Fed. Pour juguler une hausse des prix de 14%, Paul Volcker poussa les taux jusqu'à 20%, une politique efficace mais douloureuse et impopulaire. Il en reste un souvenir à l'exposition «La Fed a 100 ans», où l'on peut voir une des nombreuses poutres en bois envoyées au patron de la Fed par des ouvriers du bâtiment désœuvrés à cause des prêts immobiliers prohibitifs.

    Les années 90, avec Alan Greenspan aux rênes de l'institution, ont marqué une période de Grande Expansion. Mais une baisse continue des taux après le 11 septembre 2001 a fait le lit de la bulle immobilière, selon les critiques.

    Depuis cinq ans, la crise financière et la récession ont poussé la Fed en territoire inconnu avec des injections massives de liquidités.

    A l'heure de la transition, Ben Bernanke va passer le témoin à une femme pour la première fois. Janet Yellen doit devenir le 15e président de l'institution centenaire le 1er février 2014.

     


    Ne pas manquer: La Réserve Fédérale américaine - Le Contrôle de l'argent

     


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  • Face à Face, Olivier DELAMARCHE / Pierre SABATIER (PrimeView)
    ECO2013: Bonne vision de Pierre SABATIER.

    1. La BCE sous influence Allemande.
    2. Mario Draghi: L'Allemagne est l'exemple à suivre.
    3. Est-ce que l'Europe peut devenir Allemande ?
    4. Réformes Allemandes.
    5. PMI=47, la France, le seul mauvais élève....
    6. Nous nous reverrons jamais 5 à 6% de croissance.
    7. Nous ne sommes pas en crise, nous sommes en transition.
      Une crise=>  l'état final revient à l'état initial.
      NOUS NE RETROUVERONS PAS NOTRE ÉTAT INITIAL (3% de croissance)
      Il faut une adaptation de notre "business model",
      et pour l'instant les prises de consciences ne sont pas encore assez mature.
    8. Optimisme pour 2014, sur les marchés actions:
      Le seul moteur qui compte c'est la politique monétaire,
      elle restera accommodante et très accommodante aux États-Unis,
      elle le restera au Japon, aux Royaume-Unis,
      ELLE NE LE DEVIENDRA PAS EN EUROPE.
      Le japon, c'est sûr cela va continuer, jusqu'au jour où l'on se rendra compte
      qu'ils impriment des billets de banque pour financer leurs dépenses,
      mais peu importe, cela n'est pas l'heure. ECO2013: car cela le deviendra...
    9. L'EUROPE N'A PAS DE TIGRE DANS LE MOTEUR,
      qui est un tigre artificiel, et qui permet de faire gonfler cette Bulle progressivement.
      L'Europe sera à la traine même si la FED ralenti son Q.E.
      car il n'existe pas aujourd'hui du besoin de financement public par l'impression
      de billets de banque dans la cave de la banque centrale Européenne.


    Youtube: Publiée le 16 déc. 2013


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