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Par eco2013 le 16 Novembre 2015 à 20:56
Le Président de la République s’exprimait devant le Congrès cet après-midi, suite aux attentats parisiens de vendredi soir. Un message attendu au-delà des frontières françaises, Paris étant devenu, au moins provisoirement, le centre de commandement de la coalition contre l’Etat islamique. Cette situation est-elle compatible avec notre politique étrangère ?
Discours de François Hollande devant le Congrès (Versailles) 16/11/15 - Philippe Wojazer © Reuters
« La France est en guerre » : ce sont les tous premiers mots prononcés par François Hollande en milieu d’après-midi, devant les parlementaires réunis en Congrès à Versailles.
Moment solennel pour un discours de fermeté : tant sur le plan des mesures intérieures que le chef de l’Etat entend mettre en œuvre, que par rapport à la réponse militaire que la France va apporter.
Les bombardements aériens d’hier soir sur la ville syrienne de Raqqa ne sont que le début d’une offensive appelée à s’intensifier.
Quel rôle la France est-elle prête à jouer désormais dans cette offensive qui engage par ailleurs de nombreux pays ?
Un rôle central, à en juger par la tonalité du discours de cet après-midi.
« Nous éradiquerons le terrorisme pour que la France continue à montrer le chemin » a encore déclaré François Hollande, « nous devons continuer à influencer le monde ».
Justement, la France a-t-elle les moyens et la légitimité suffisante pour assumer une forme de leadership dans la lutte contre le terrorisme ?
« Quel message François Hollande doit-il adresser au monde ? »
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Par eco2013 le 15 Novembre 2015 à 22:54Ajoutée le 25 sept. 2014
Dans ce nouveau numéro de Fovéa, on décortique le film de Verneuil I... comme Icare, qui offre une belle illustration de l'expérience de Milgram.
Découvrez pourquoi Milgram est le vrai Tyler Durden ! votre commentaire
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Par eco2013 le 14 Novembre 2015 à 21:05
Grain à moudre du 04 juin 2014.
e coordinateur de l’Union européenne pour la lutte contre le terrorisme en fait lui-même l’aveu : il ne travaille plus aujourd’hui que sur un seul dossier : la Syrie.
La Syrie, terre de djihad pour un nombre toujours plus important de jeunes occidentaux. Il y a quelques mois, on pouvait encore croire à un épiphénomène. C’est manifestement beaucoup plus grave. Ils seraient environ 2000 Européens aujourd’hui à combattre en territoire syrien, aux côtés des organisations les plus radicales. Parmi lesquels 300 de nos ressortissants.
Demain, à Luxembourg, les ministres européens de l’Intérieur vont s’emparer du sujet. En particulier de la question de la surveillance de ces combattants, une fois de retour dans leur pays. Car si ces jeunes traumatisent leur entourage familial en allant risquer leur vie loin de chez eux, se pose également la question de leur dangerosité une fois rentrés en France. Le parcours de l’auteur présumé de la tuerie du musée Juif de Bruxelles témoigne de ce danger.
Thibault de Montbrial, Mathieu Guidère et Louis Caprioli JCF © RADIO FRANCE
Les autorités tentent de réagir, comme à travers le récent plan anti-djihad du gouvernement. Mais comment trouver la réponse la plus adaptée à une menace aussi difficile à identifier ?
« Qui contrôle les nouveaux terroristes ? »
C’est notre sujet du jour.
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Mathieu Guidère, professeur titulaire de la chaire d'islamologie et pensée arabe à l'Université de Toulouse 2
Louis Caprioli, conseiller et spécialiste en géostratégie, ancien responsable du groupe anti-terroriste à la Direction de la Surveillance du territoire (DST)
Thibault de Montbrial, avocat au barreau de Paris votre commentaire
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Par eco2013 le 8 Novembre 2015 à 20:52Ajoutée le 26 août 2015
C'est quoi un assisté? Pourquoi est-ce que soudainement tout le monde en parle et appelle à résoudre ce "fléau" ? Et si Attaquer les assistés ça servait en fait à attaquer encore plus les travailleurs ? Pour ce premier article vidéo, nous allons décrypter la réalité qui se cache derrière le discours sur l'assistanat.
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Par eco2013 le 30 Octobre 2015 à 11:05Ajoutée le 16 mai 2012
Qu'on leur coupe la dette 3/3 - le fléchage
« Faire des sacrifices » pour « rassurer les marchés ». On se croirait dans la mythologie grecque, mais non, on est bien dans l'Europe du troisième millénaire -- et c'est la seule voie que connaissent nos élites pour sortir de la crise.
Pourtant, dans l'histoire, bien d'autres solutions ont existé -- et réussi. Après la saignée et la confiscation, un autre exemple plus doux : le fléchage. votre commentaire
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