• Youtube: Publiée le 14 juil. 2013

     


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  • Source: Le Parisien
    Publié le 02.10.2013, 10h57 | Mise à jour : 11h36

    ILLUSTRATION. Selon le l'assureur-crédit Euler Hermes, plus de 62 000 sociétés vont déposer le bilan en 2013 entraînant la destruction de 174 000 emplois.

    ILLUSTRATION. Selon le l'assureur-crédit Euler Hermes, plus de 62 000 sociétés vont déposer le bilan en 2013 entraînant la destruction de 174 000 emplois. 

    Malgré une léger rebond de la croissance au deuxième trimestre (+0,5%), les défaillances d'entreprise en France devraient atteindre un niveau record en 2013. Selon le l'assureur-crédit Euler Hermes, plus de 62 000 sociétés vont déposer le bilan entraînant la destruction de 174 000 emplois.

    Ce phénomène touche toutes les régions sauf trois :
    Paca, Limousin et Basse-Normandie.

    Il n'épargne aucun secteur d'activité sauf les transports et l'entrposage. En revanche, avec la réduction du pouvoir d'achat des ménages, l'hébergement et la restauration enregistrent une hausse spectaculaire des défaillances, avec plus de 16% par rapport à l'an passé.
    Même constat pour l'automobile : avec un marché qui devrait terminer l'année en chute de 8% par rapport à l'an passé, de nombreux concessionnaires (+10%) ont été obligés de mettre la clef sous la porte.
    Pour 2014, Euler Hermes s'attend à une légère baisse de 1 % des défaillances avec 61 800 sociétés en moins, ce qui reste à un niveau historiquement très élevés. Pour l'assureur-crédit, cela devrait détruire 165 000 emplois supplémentaires, soit un demi-point de chômage en plus.


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     



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  • Le blocage du gouvernement américain, lié au refus de la Chambre des Représentants à voter le budget, entame ce mardi son deuxième jour. Et un nouveau va-et-vient entre les chambres et les représentations politiques a eu lieu aujourd'hui, alors que le Sénat (démocrate) a refusé le projet de budget du Congrès (Républicain). Selon notre correspondant, il s'agit de voir qui craquera le premier dans ce bras de fer politique.


    Youtube: Publiée le  2 oct. 2013

    Rappel:
    Étienne Chouard - L'arnaque de l'impôt sur le revenu


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  • Source: Paris Normandie
    Publié le 02/10/2013 à 08H00

    Nouveau coup dur pour les salariés de Chapitre. Le plan social est arrêté et toutes les librairies sont désormais mises en vente.

    Les salariés de Chapitre à Évreux abattus après l’annonce faite  de la direction de revendre l’ensemble des librairies

    Les salariés de Chapitre à Évreux abattus après l’annonce faite de la direction de revendre l’ensemble des librairies

    C’est la consternation en ce mardi matin pour Gaëlle Brunier, libraire à Chapitre. Comme ses collègues, elle vient d’apprendre que la direction de l’enseigne a décidé de mettre en vente les cinquante-six librairies du groupe avec pour objectif d’achever la cession avant l’été.
    Les magasins qui ne seront pas vendus seront mis en liquidation judiciaire. Le plan social annoncé en avril est tout simplement arrêté. « C’est une grosse claque ! Je ne m’y attendais pas, lance Gaëlle Brunier. On était onze dans la galère, là, on est cinquante-six ! »
    Les fêtes se préparent
    L’heure de la colère n’est pas encore arrivée pour le personnel toujours sous le choc. « On est tous abattus », souffle la libraire qui n’exclut pas une quelconque mobilisation avant la fin de la semaine.
    Car l’annonce faite lundi par la direction a de nouvelles incidences sur les seize salariés de Chapitre menacés de chômage. « Je me disais que l’on ferait partie du licenciement économique. Personnellement, je pensais faire un an de formation pour me recycler. Là, je dois changer tous mes projets. Mes collègues aussi. On sait maintenant que l’on partira avec rien ! »
    Dans la voix de la libraire se lisent l’inquiétude et la lassitude : « Cela fait six mois que ça traîne. C’est long. Comment allons-nous faire pour continuer à travailler sereinement ? Ce n’est pas supportable, ni pour nous, ni pour les clients. » Dans les rayons, les fêtes de fin d’année se préparent malgré tout.
    Un « tout petit espoir » luit encore dans les yeux des employés : celui que le magasin ébroïcien trouve un repreneur avant l’été. La municipalité, désireuse de voir l’espace culturel maintenu en centre-ville, a fait son « boulot » en faisant « en sorte qu’il puisse y avoir une solution de reprise des locaux et des salariés. Nous en sommes au stade des discussions de privé à privé », souligne Sophie Buquet-Renollaud, adjointe au maire en charge du Commerce. Les cartes sont désormais entre les mains de l’enseigne, du bailleur à qui appartient l’immeuble et au porteur de projet.


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  • Mise à jour: 14-12-2013

     

     

     

     

     

     

     

     


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