• eco2013: Cela va donner de la croissance ????!!!! il faudra m'expliquer...
    Faisons confiance aux experts ????? On nous prend encore pour des C..
    La vraie raison est ailleurs.... le démantèlement de la France est en marche...

    Source: http://www.20minutes.fr/france/1609218-20150516-nouvelle-carte-regions-vraie-coherence-malgre-quelques-inconvénients

     

    La nouvelle carte des régions

    Evolution du PIB de 1990 à 2012 et population en 2011 dans les 13 régions métropolitaines - P. Pizarro/P. Defosseux AFP

     

    La nouvelle carte régionale «renforce la cohérence économique interne des régions» et va donc favoriser leur croissance, sauf pour trois d'entre elles: Bourgogne/Franche-Comté, Centre-Val de Loire et Nord-Pas-de-Calais/Picardie, selon une étude de France Stratégie.

    Au 1er janvier 2016, la France métropolitaine (hors Corse) ne comptera plus que douze régions, au lieu de 21, 14 régions disparaissant pour se fondre dans de nouvelles entités.

    Le nouveau découpage «propose des régions économiques plus cohérentes que le précédent», car «moins de départements subissent des forces centrifuges qui les éloignent de leur région», soutient l'étude publiée cette semaine par cet organisme de concertation et de réflexion placé auprès des pouvoirs publics.

    Selon les trois auteurs (France Stratégie et université Paris-Dauphine), «une région est dite cohérente si moins de 25% de ses départements sont concernés par une telle force centrifuge», mesurée par l'intensité des échanges humains et économiques avec une autre région.

    Le gouvernement ne s'est jamais vraiment expliqué sur le découpage qu'il avait proposé il y a bientôt un an, le 2 juin 2014, pour faire «des régions plus fortes», faisant valoir que «la carte idéale n'existe pas». Il avait accepté un remaniement assez profond par le parlement de son projet initial, à condition de ne rattacher aucun département à une autre région que celle à laquelle il appartient aujourd'hui.

    Dans le découpage actuel, explique l'étude, la force centrifuge s'exerce sur 24 départements. Ils ne seront plus que 16 l'an prochain.

    En Bourgogne/Franche-Comté, trois départements sur sept regardent plutôt ailleurs: Territoire de Belfort, «qui a des liens forts avec la grande région du Nord-Est», la Nièvre et la Saône-et-Loire en raison de la localisation de Nevers et Mâcon, tout proches d'autres régions que la leur.

    «Cette région se caractérise par des déplacements de travailleurs et des liens financiers relativement soutenus, mais elle ne se distingue ni par un degré d’intégration élevé, ni par une ouverture forte» sur ses voisines, estime France stratégie.

    Quant au Centre-Val de Loire, au périmètre inchangé, «cette région est assez peu cohérente», car les déplacements des travailleurs entre les départements qui la composent sont «assez limités» et pour partie extérieurs à la région: les travailleurs d'Eure-et-Loir vont vers l'Ile-de-France, une part de ceux du Cher ont leur activité professionnelle en Bourgogne.

    - Fusionner Bretagne et Pays de la Loire, plutôt une bonne idée -

    Le Nord-Pas-de-Calais/Picardie est lui aussi assez hétérogène. En effet, «de nombreux résidents» de l'Oise travaillent en Ile-de-France, tandis que les propriétaires des entreprises de l'Aisne sont davantage liés à la région Alsace/Lorraine/Champagne-Ardenne.

    A un degré moindre, Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon présente des faiblesses. Pour les liens strictement économiques, le Gard a plus à voir avec PACA (et notamment avec le Vaucluse), et le Gers avec l'Aquitaine, fusionnée avec Poitou-Charentes et Limousin.

    Au contraire, la grande région de l'Est «est parfaitement cohérente», aucun de ses dix départements ne regardant vers une autre région, alors que c'était le cas dans l'ancien découpage pour la Meuse, le Bas-Rhin et les Vosges, souligne l'étude.

    Même diagnostic pour la Bretagne, dont «aucun département» ne lorgne hors des limites régionales ni, d'ailleurs, n'attire des départements voisins. Il n'en reste pas moins qu'elle entretient «des liens assez étroits», au plan de l'actionnariat des entreprises, avec les Pays de la Loire. Selon les chercheurs, «une grande région les réunissant n'aurait pas réduit la cohérence et aurait renforcé l'intégration».

    Côté Est, cette fois, la fusion de Rhône-Alpes avec l'Auvergne «apparaît très cohérente, avec des déplacements domicile-travail et des liens d'actionnariat assez forts». Un bémol, «seul le Cantal est très faiblement intégré dans la région et plus tourné vers Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon». Plus au sud, PACA, aux contours inchangés, est cohérente, «à l'exception du Vaucluse, très lié au Gard».

    Selon France stratégie, réaffecter des départements confrontés à des forces centrifuges, tels que le Cantal, le Gard et l'Orne, ne serait pas une solution car «ces réaffectations créeraient de nouvelles forces centrifuges». Il vaudrait mieux, pour eux comme pour «les départements isolés», «mettre en place des politiques permettant de favoriser les liens économiques avec le reste de la région».


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  • Source: http://lesmoutonsenrages.fr/2015/05/14/france-eh-youpla-voici-la-carte-interactive-des-projets-des-mega-fermes-usines-a-venir/#more-81662

    Alors que le véganisme séduit de plus en plus de français, même si ce n’est qu’un début, l’horreur est en marche dans nos régions, avec l’implantation de gigantesques fermes-usines. Merci Marabout.

    Mega-fermes-usines à venir…

    Fermez les yeux, et imaginez plus d’un million de volailles entassées dans une seule exploitation. 11 000 porcs serrés les uns à côté des autres. 120 000 agneaux engraissés dans un même lieu. Non, ce n’est pas un cauchemar, mais les différents visages de l’industrialisation de notre agriculture. Voici la carte qui recense ces dérives industrielles.

    La Confédération paysanne publie aujourd’hui une carte de France de ce phénomène sans précédent. Le syndicat recense une trentaine de « projets phares », témoins d’un dévoiement dangereux du modèle productiviste. « C’est une agriculture destructrice d’emplois, incompatible avec la préservation de notre environnement et prédatrice d’une agriculture à taille humaine », explique le syndicat paysan.

    Que nous révèle cette carte ? « Nous avons voulu montrer une dérive lourde du système actuel, dont le symbole est la ferme-usine », explique Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne. La ferme des 1000 vaches dans la Somme n’est qu’un des avatars de cette industrialisation tous azimuts. Une tendance à la concentration et à l’hyper-spécialisation qui touche tous les types d’élevages, mais aussi les cultures maraîchères.


    Comme ces 25 ha de serres de tomates hors sol à Echillais (Charente-maritime), chauffées par un méga incinérateur… pour produire 50 tonnes de tomates par jour. Un phénomène souvent porté par des grands groupes industriels, mais aussi par des agriculteurs. « En Aveyron, un paysan engraisse plus de 120 000 agneaux, et nous ne cautionnons pas cette pratique juste parce qu’elle est portée par un paysan », précise Laurent Pinatel.

    Une tendance nocive ? Le gouvernement ne semble pas de cet avis. « Ceux qui disent qu’on peut se passer d’une agriculture industrielle se mentent à eux-mêmes. » Mercredi 17 février, Stéphane Le Foll a une nouvelle fois mis les pieds dans le plat. « Pas de faux débats », a-t-il précisé à nos confrères du Parisien. « On a besoin d’une industrie agroalimentaire, et on a aussi besoin, pour la production de certains aliments, d’une production suffisamment industrialisée pour qu’elle soit accessible. » Alors qui a raison ?

    Qu’entend-on par industrialisation de l’agriculture ?

    « Il s’agit d’appliquer à l’agriculture des processus qui ont fait leurs preuves dans l’industrie : produire toujours à plus grande échelle pour produire au moindre coût monétaire », explique l’agronome Marc Dufumier. Mécanisation, robotisation, augmentation de la taille et concentration des exploitations.

    Pourtant, « l’idée que l’on va faire des économies d’échelle avec des grands troupeaux est fausse », dit André Pfimlin, spécialiste des élevages laitiers. « Aux États-Unis, des chercheurs ont montré que ces grands troupeaux, nécessitant des équipements nouveaux, avaient des coûts par tonne de lait plus élevés et étaient plus vulnérables aux variations du prix du lait et de l’aliment. Leur rentabilité provenait du recours à de la main d’œuvre bon marché, souvent immigrée. »


    Malgré tout, la marche de l’agriculture vers l’industrialisation se poursuit, poussée par les grands groupes agro-industriels. Pour la Confédération, « ce sont eux qui captent la valeur ajoutée, et on les retrouve derrière la plupart des projets de ferme-usine. » Reporterre a mené l’enquête sur le plus tentaculaire de ces groupes : Avril-Sofiprotéol


    Cette industrialisation est-elle inévitable ?

    Pour André Pfimlin, l’élevage industriel est inacceptable : « Ces feedlots sont en compétition directe avec l’alimentation humaine car gros consommateurs de grains… Ils sont destructeurs de l’environnement, parce qu’ils sont en partie responsables de la déforestation pour faire de la monoculture industrielle de maïs ou de soja, et ils sont de gros producteurs de gaz à effet de serre. »

    Surtout, ces méga-projets détruisent des emplois, des marchés locaux et la vie rurale. « Dans un contexte de chômage massif et de désertification de nombreuses régions rurales, l’industrialisation de l’élevage est injustifiable, même sur le seul plan socio-économique », conclut-il.

    Un avis partagé par Pablo Servigne, chercheur agronome : « L’agriculture industrielle est un modèle toxique, qui se coupe l’herbe sous les pieds, en détruisant les écosystèmes. » Un système nocif et condamné. « Comme il dépend du pétrole, des minerais et d’autres ressources fossiles, c’est un système déjà mort. »

    Un mort-vivant alors, car les fermes-usines sont en plein essor. « Il y a une grande inertie du système », affirme Pablo Servigne. En cause, le verrouillage socio-technique : « Nous héritons de techniques inventées dans le passé, comme les pesticides, les OGM, qui ne sont plus efficaces, mais qui sont très intégrées dans nos usages et nos modes de pensée. » Lui appelle donc à de « grands déclics imaginaires », pour changer de paradigme.

    « Nous sommes au moins d’accord avec la FNSEA sur un point », admet Laurent Pinatel. « Le système actuel est à bout de souffle. Eux proposent d’y remédier par les fermes-usines, nous par l’agriculture paysanne, orientée vers un marché local. » Agroécologie, circuits courts, culture biologique. D’autres modèles existent.

    « Partout dans nos campagnes, il y a des paysans qui sont déjà entrés dans l’ère post-pétrole », estime Pablo Servigne. « L’exode urbain a déjà commencé, les néo-ruraux sont de plus en plus nombreux, c’est un énorme mouvement qui n’a pas encore conscience de lui-même. » Chercheur agronome de formation, il s’est lui-même installé en Ardèche et formé à la permaculture. « L’effondrement inéluctable de la civilisation industrielle va permettre l’épanouissement de nouvelles pousses », dit-il. « Et ces jeunes pousses sont déjà là. »

    Source © Reporterre via Nature-Alerte


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  • Ajoutée le 8 juin 2015

    L'Agence Info Libre a profité du passage de Pierre Jovanovic à Lyon, pour la dédicace de son dernier livre "666", afin de s'entretenir des questions d'actualité économique.

     


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  • Source: http://lesmoutonsenrages.fr/2015/05/14/pour-vivre-heureux-vivons-dans-la-nature-foi-de-scientifiques/#more-81670

     

    Pour vivre heureux, vivons dans la nature !

    Image à la une tous droits réservés par Kindra Nikole

    Alors que plus de la moitié de l’humanité habite désormais en ville, on observe une volonté grandissante chez le citoyen de retourner vivre au plus près de la nature. Mais le bonheur se trouve-t-il vraiment aux côtés d’un environnement naturel ? Plusieurs études semblent l’indiquer…

    Pour beaucoup, une balade en nature est synonyme d’apaisement, de bien-être voire de félicité. Si ce n’est pas forcément évident aux yeux de tout le monde, ce sentiment de bien être partagé par certains peut-il s’expliquer rationnellement ? Plusieurs études indiquent que notre « consommation » de nature peut jouer un rôle pertinent pour notre santé mentale et physique. Le Journal de Montréal rapporte 4 de ces études qui nous invitent à reconsidérer notre rapport à notre environnement.

    1. L’immersion dans la nature rend plus créatif

    Ce sont des chercheurs de l’Université du Kansas et de l’Utah qui l’affirment, les balades prolongées en nature, loin des technologies, stimule le cerveau et en particularité tout ce qui est lié à la créativité. Pour se faire, les scientifiques ont envoyés 56 volontaires en randonnée dans des régions aux paysages à couper le souffle.

    De l’Alaska au  Colorado, du Maine à Washington, les participants n’ont pas eu le droit d’utiliser des technologies comme un smartphone ou un lecteur MP3. Coupés de tout, ils n’avaient pas d’autres choix que de profiter pleinement de leur expérience avec la nature. À leur retour, un test comparatif a été effectué. L’étude indique une amélioration de près de 50% de leurs aptitudes créatives. La combinaison d’une immersion en nature couplé à une baisse significative (ou un arrêt) de l’utilisation des technologies aurait un impact positif direct et évident.

     

    2. La nature lutte contre le stress et joue sur le bonheur

    Plusieurs études semblent démontrer que notre rapport à la nature entraine des effets positifs sur le moral. C’est une recherche réalisée à l’Université de Chiba au Japon qui dévoile une plus grande sérénité et une diminution du stress chez les personnes en symbiose avec la nature.

    Pour le démontrer, deux groupes furent formés sur base d’un échantillon de 280 personnes. Un groupe de personne séjourna en ville pendant qu’un autre groupe était obligé de vivre en nature. Après avoir étudié leur état, les groupes furent inter-changés. Les scientifiques ont alors remarqué que lorsque les candidats étaient en forêt, ils avaient un pouls, une pression artérielle et un taux de cortisol statistiquement plus bas.

     

    3. Une stimulation du système immunitaire

    Le cerveau n’est évidemment pas le seul élément du corps humain a être stimulé par le contact à la nature. Ce sont des chercheurs Japonais, à nouveau, qui l’affirment : une simple marche en forêt renforce les muscles et, surtout, augmente la résistance du système immunitaire.

    Selon une étude réalisée par l’École de médecine de Tokyo, ce serait les phytoncides, des molécules sécrétées par les arbres et les plantes, qui auraient des effets bénéfiques sur le corps humains. Le simple frais de respirer l’air frais de la nature aurait donc déjà un impact positif sur le corps.

    À n’en pas douter, avec une très vaste urbanisation de certaines régions nippones, les citadins japonais sont particulièrement en recherche d’un retour à la nature depuis quelques années. Une ambition qui se voit encouragée et validée par ces études.

    4. La balade en forêt est bonne pour votre forme physique

    Ainsi, une simple marche de 60 minutes en foret, avec toutes les difficultés d’un terrain naturel, brûle jusqu’à 500 calories. De manière générale, cette activité réduit la pression artérielle et prévient naturellement les maladies du cœur. Un exercice destiné à tous les âges et qui est moins exigeant pour le corps ou les articulations qu’un sport intensif.

    Source et article complet sur MrMondialisation


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  • Ajoutée le 4 mai 2015

     

    Mise en ligne le 20 févr. 2011


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