• Ajoutée le 6 janv. 2016

    Près de huit après la crise des subprimes, et quelques mois après avoir fait souffler un vent de panique sur les marchés asiatiques, la Chine fait trembler le monde. Dans la foulée de la fermeture en catastrophe, ce lundi, des bourses de Shanghai et de Shenzhen alors qu’elles étaient en chute libre, les bourses asiatiques mais aussi européennes ont dégringolé. Et si depuis cette journée qualifiée de "lundi noir", la plupart des grandes places financières ont retrouvé le chemin de la hausse, les inquiétudes demeurent. Alors que se passe-t-il ? L’Empire du Milieu est-il devenu un maillon faible ? Est-ce les prémices d’une nouvelle crise financière et économique majeure ?

    La deuxième économie mondiale donne depuis l’année dernière des signes d’essoufflement. Sa croissance ralentie dangereusement : elle n’est plus à 11 % comme pendant tant d’années, mais sans doute proche de 2 %. Sa production manufacturière est en déclin depuis sept mois, sa consommation d’électricité et de pétrole sont en croissance zéro, le fret ferroviaire a baissé de 15 % en un an tandis que les ventes de voitures reculent de 10 %. Autant de signes qui inquiètent les économistes. D'autant que le ciel s'assombrit également au-dessus des économies de pays émergents, moteurs de la croissance mondiale, et qu’un changement d’ampleur attend la planète finance : après plusieurs années de baisse continue des taux d'intérêt, la banque centrale américaine s'apprête à les remonter légèrement, mettant fin à la politique de taux zéro.

    De quoi impacter l'économie mondiale encore fébrile. La patronne du FMI a d’ailleurs tiré la sonnette d'alarme le 30 décembre. La croissance mondiale sera "décevante et inégale" en 2016, a averti Christine Lagarde, avant de mettre en garde : "Des taux en hausse et un dollar plus fort pourraient conduire à des défauts de paiement de la part d'entreprises. Et se propager dangereusement aux banques et aux Etats."

    Quelles seront les conséquences sur l’économie mondiale ? Après une année 2015 difficile, la reprise en France, annoncée par différents instituts en 2016, est-elle menacée ?

     


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  • Mise en ligne le 5 oct. 2011

     


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  • source: http://lesmoutonsenrages.fr/2016/01/03/vous-avez-dit-ecologie/#more-90743

    Je l’ai reçue tellement de fois, que je partage cette réflexion. Elle est dédiée à tous les vrais écolos doués de bon sens pratique..

    image: http://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2016/01/camions-pollueirs-us.png

    Camions US en route pour la COP21

    Camions US en route pour la COP21

    A la caisse d’un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l’écologie et lui dit:
     » Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique.
    Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources !  »
    La vieille femme s’excuse auprès de la caissière et explique :
    « Je suis désolée, il n’y avait pas de mouvement écologiste de mon temps. »
    Alors qu’elle quitte la caisse, la mine déconfite,
    la caissière ajoute :
    « Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens ».
    C’est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l’environnement dans votre temps..
    Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer, qu’à l’époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin. Le magasin les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : Les  bouteilles étaient recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique. 

    Elle ajoute :
    De mon temps, on montait l’escalier à pied : on n’avait pas d’escaliers roulants et peu d’ascenseurs.
    On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues :
    On marchait jusqu’à l’épicerie du coin.
    Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    On ne connaissait pas les couches jetables :
    On lavait les couches des bébés.
    On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde
    On avait un réveil qu’on remontait le soir.
    Dans la cuisine, on s’activait pour préparer les repas ;
    on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu’EDF en produit.
    Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
    On n’avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto portées :
    On utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon.
    On travaillait physiquement; on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité.
    Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    On buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif.
    On n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter.
    On remplissait les stylos dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo.
    On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.
    Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l’école à vélo ou à pied au lieu d’utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24. Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rue,
    Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique !
    On n’avait qu’une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui.
    ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MOUVEMENT ECOLOGISTE !
    Tout ce qu’on regrette, c’est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d’engendrer la génération des jeunes cons comme vous, qui s’imagine avoir tout inventé, à commencer par le travail, qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d’orthographe, qui n’ont jamais ouvert un bouquin autre que des bandes dessinées, qui ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel…(pensent même que c’est un grand couturier), qui ne savent pas mieux où passe le Danube quand on leur propose Vienne ou Athènes,
    etc. mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres,du haut de leur ignorance crasse !
    MERDE à la fin !

    Source Un internaute inconnu, mais sacrément lucide


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  • Ajoutée le 18 janv. 2016

    David peut-il encore l’emporter contre Goliath ? Des pieds nickelés picards faire tanguer la multinationale LVMH, premier groupe de luxe au monde, et effrayer son PDG, Bernard Arnault, l’homme le plus riche de France?

     

     

     

     


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  • Source: http://www.20minutes.fr/economie/1769797-20160120-rouble-plus-bas-niveau-histoire-face-dollar (20/01/2016)

    Le rouble au plus bas niveau de son histoire face au dollar

    La monnaie russe est tombée mercredi à son plus bas niveau historique face au dollar, sous le coup de l'effondrement sans fin des cours du pétrole qui enfonce la Russie dans la crise économique.

    Une pièce de rouble russe devant la cathédrale St-Basile au centre de Moscou, le 20 novembre 2014Une pièce de rouble russe devant la cathédrale St-Basile au centre de Moscou, le 20 novembre 2014 - ALEXANDER NEMENOV AFP

    Le début d'année tourne au cauchemar pour les Russes qui ont vu leur pouvoir d'achat plonger l'an dernier et voient désormais toute perspective d'amélioration s'éloigner au fur et à mesure que le baril d'or noir perd de sa valeur.

    Le dollar a franchi le seuil psychologique des 80 dollars, puis atteint 81,93 roubles à la Bourse de Moscou. Le rouble ne s'est jamais échangé à ce niveau depuis que la Russie a enlevé trois zéros à sa monnaie, au moment de la grave crise financière de 1998.

    Jusqu'à présent, la devise russe s'était maintenue au-dessus de ses pires niveaux des journées noires de décembre 2014, quand un vent de panique s'était emparé des investisseurs et des Russes et que le rouble s'était brutalement effondré avant de remonter.

    L'euro s'est quant à lui hissé jusqu'à 89,42 roubles, un pic depuis décembre 2014. La monnaie unique européenne avait alors atteint 100 roubles.

    «Le rouble qui baisse, cela signifie que les prix augmentent, et donc une baisse des revenus des ménages, un appauvrissement de la population et une baisse du niveau de vie», a commenté l'économiste Igor Nikolaïev, de la société de conseil FBK Grant Thornton.

    «Pour l'économie, cela veut dire que les investissements diminuent encore plus, que les risques se renforcent pour les investisseurs, que la situation économique est instable et incertaine», a-t-il ajouté, interrogé par l'AFP.

    Sur le marché boursier, l'indice RTS de la Bourse de Moscou, libellé en dollars, a dévissé de 4,83%, soit un plongeon de 16% depuis le début de l'année. Le Micex (en roubles) a cédé 0,92%.

    - Forte hausse des prix -

    Le pétrole représente avec le gaz plus de la moitié des revenus de l'Etat russe et sa chute intervient au moment où la Russie, également visée par des sanctions dues à la crise ukrainienne, espérait sortir de la récession qui l'a frappée en 2014.

    Le baril d'or noir est passé mercredi sous les 28 dollars, ce qui n'était plus arrivé depuis 12 ans. Il semble inexorablement se rapprocher des 25 dollars, soit la moitié du niveau sur lequel se sont fondées les autorités russes pour bâtir leur budget 2016 et leurs prévisions économiques.

    Le Fonds monétaire international table sur une baisse d'1% du produit intérieur brut cette année après une chute de près de 4% l'an dernier.

    Le gouvernement a déjà reconnu qu'avec un pétrole aux niveaux actuels, l'économie devrait encore se contracter et que des coupes budgétaires seraient nécessaires.

    Il multiplie les réunions ces derniers jours pour trouver des sources d'économies et de revenus supplémentaires, tout en préservant les prestations sociales et l'aide aux secteurs les plus en difficulté (automobile, BTP, etc.).

    Se voulant rassurante, la banque centrale, qui avait dû fin 2014 prendre des mesures en pleine nuit pour stopper l'effondrement du rouble, a assuré que la stabilité financière n'était pas menacée.

    La chute de la monnaie russe risque pourtant fort de l'empêcher d'abaisser, au cours de sa réunion du 29 janvier, ses taux de crédit actuellement à un niveau punitif pour l'activité.

    Le président Vladimir Poutine, qui s'exprimait devant des entrepreneurs au moment même où le rouble tombait au plus bas, a ironisé sur la présence à cette occasion de la plupart des principaux responsables économiques malgré l'ouverture du forum économique de Davos en Suisse.

    «Il n'y a visiblement plus d'argent pour les billets» de transport, a-t-il déclaré, estimant qu'il fallait «rester travailler à la maison».

    La crise a été marquée par une forte hausse (près de 13%) des prix à la consommation en 2015 ayant entraîné un plongeon des revenus des ménages et de la consommation.

    Les marchés de l'automobile ou de l'immobilier se sont effondrés, comme les séjours à l'étranger, et les ventes de smartphones ont pour la première fois reculé.

    Sévère, l'ex-président soviétique Mikhaïl Gorbatchev a dénoncé l'absence de «plan d'action» des autorités pour sortir de la crise économique. «Tout ce que l'on nous dit vise visiblement à nous calmer, mais peu d'efforts sont entrepris pour réaliser» ces promesses, a-t-il jugé, cité par l'agence de presse Ria-Novosti.


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