• Je ne sais pas où l'on va, mais une chose est certaine, on y va....  :-(
    "Ce beau modèle Allemand !!!!"


    Source: 20minutes
    Créé le 07/09/2013 à 18h04 -- Mis à jour le 07/09/2013 à 18h06
    • Des voitures dans une rue de Strasbourg

    Des voitures dans une rue de Strasbourg Frederick Florin AFP

    Strasbourg - Au lieu des bijoux de grand-mère, pourquoi ne pas porter sa voiture au «Mont de piété»? Impossible en France, la démarche est proposée aux automobilistes français en mal d'argent par une société basée de l'autre côté de la frontière, en Allemagne.

    «En Allemagne, ça existe depuis très longtemps, dans toutes les grandes villes», explique Cedric Domeniconi, l'un des deux entrepreneurs à l'origine de cette idée. «On s'est dit qu'on pouvait tenter de proposer ce service aux clients suisses et français, qui ne le connaissent pas», ajoute M. Domeniconi, un Suisse qui a mis en place un site internet entièrement en langue française ().

    La procédure, assure-t-il, est très simple: le client français vient déposer sa voiture «au clou» dans un entrepôt situé dans le sud-ouest de l'Allemagne, à environ 65 km de la ville frontalière de Saint-Louis (Haut-Rhin). Et il repart avec une somme d'argent. Le prêt est limité à trois mois, renouvelable éventuellement une fois. Quand le client ramène l'argent, il récupère son véhicule.

    Le service, évidemment, a un coût. Pour un prêt de 5.000 euros, le taux d'intérêt est de 12% annuels, soit 50 euros par mois. Mais en y ajoutant les frais de gestion, de gardiennage et d'assurance de la voiture, la facture est quasiment multipliée par sept, avec 345 euros mensuels.

    Denis Dahy, un boulanger à la retraite installé en Haute-Saône, n'a pas été rebuté par ces tarifs : à deux reprises, il est allé en Allemagne mettre en gage son 4x4 Dacia. «Comme j'avais des problèmes de liquidités, j'ai d'abord cherché à vendre rapidement ma Dacia, qui est ma 2e voiture. Mais on m'en proposait une misère. Alors, en cherchant sur internet, j'ai trouvé cette solution de prêt sur gage», raconte-t-il à l'AFP.

    «C'est astucieux, rapide et souple, mais c'est vrai qu'à ce tarif-là, ça doit rester du court terme, parce que sinon ça fait cher!», commente le sexagénaire.

    Des frais élevés

    Un point que l'entreprise allemande ne conteste d'ailleurs pas. «Bien sûr, en pourcentage, les frais sont élevés. Mais en valeur absolue, quelques centaines d'euros par mois, c'est pas grand chose», estime M. Domeniconi, qui assure «attirer l'attention» de ses clients sur la nécessité de limiter la durée du prêt.

    Pour Gérard Fischer, le directeur du Crédit municipal de Strasbourg, cette offre est «sympa dans son principe», mais «les taux sont incroyables». En France, les caisses du Crédit municipal - détentrices du monopole du prêt sur gage - demandent 35 euros par mois d'intérêt pour 5.000 euros prêtés. Mais elles n'acceptent plus les véhicules depuis 1974, principalement parce que ce service impliquait une logistique trop lourde, explique M. Fischer.

    Depuis ses bureaux allemands, M. Domeniconi, qui réfute le terme d'«usurier», fait valoir que la comparaison avec les Crédits municipaux n'est pas pertinente. «Contrairement à eux, nous n'avons pas de but social. Et nos clientèles ne sont pas les mêmes: nous ne nous adressons pas aux personnes démunies, mais à des gens aisés, qui ont des biens mais manquent temporairement de liquidités».

    De fait, malgré la crise économique, M. Domeniconi est loin d'avoir provoqué, par son initiative, un exode massif vers l'Allemagne d'automobilistes français désargentés. Seule une dizaine ont franchi le pas, selon lui.

    Jean-Louis Kiehl, le président de la Fédération des associations Crésus, qui aident les ménages surendettés, est sceptique. «Chez nous, ce n'est pas dans les moeurs, et puis souvent les gens démunis ont une voiture de faible valeur».

    Dans ce mont-de-piété allemand, le taux est certes très élevé, observe M. Kiehl, «mais tout dépend de l'usage qu'on en fait. Et puis ce n'est pas plus dangereux qu'un découvert bancaire, où le taux d'intérêt peut atteindre 300%».


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  • Source: 20minutes
    Créé le 07/09/2013 à 22h45 -- Mis à jour le 07/09/2013 à 22h47

    • Le siège de la Banca Monte dei Paschi di Sienna, à Sienne le 25 janvier 2013

    Le siège de la Banca Monte dei Paschi di Sienna, à Sienne le 25 janvier 2013 Fabio Muzzi AFP

    Rome - Le gouvernement italien et la Commission européenne ont annoncé samedi être parvenus à un accord sur les modifications du plan de sauvetage de la banque italienne Banca Monte dei Paschi di Sienna (BMPS).

    Bruxelles et Rome ont «trouvé un accord sur tous les points» et d'ici deux mois, la Commission devrait donner son feu vert définitif, a indiqué à la presse le commissaire européen Joaquin Almunia, après un atelier au forum économique Ambrosetti sur le lac de Côme près de Milan.

    «Les derniers aspects ont été clarifiés» lors d'une rencontre à huis clos avec le ministre de l'Economie italien Fabrizio Saccomanni, également présent à cette rencontre organisée tous les ans, a ajouté le commissaire à la Concurrence.

    En juillet, la Commission Européenne avait demandé des modifications dans le plan de restructruration présenté en juin 2012, après l'intervention de l'Etat italien pour aider BMPS à respecter les normes internationales en matière de fonds propres.

    La Commission a estimé que l'augmentation de capital d'un milliard d'euros décidée par BMPS n'était pas suffisante et que ce montant «devra être augmenté». M. Almunia n'a pas confirmé le montant de deux milliards qui circule dans les milieux spécialisés.

    En outre, si la restructuration menée par le président de BMPS Alessandro Profumo et son directeur général Fabrizio Viola devait échouer, il faudrait effectuer la «conversion» en actions des aides de l'Etat qui se montent à 4 milliards d'euros, ce qui reviendrait à nationaliser la plus vieille banque du monde (fondée en 1472).

    Autres conditions données par Bruxelles: «réduire progressivement» le portefeuille d'emprunts d'Etat et de produits dérivés de BMPS qui atteint actuellement 40 milliards d'euros, tailler encore dans les effectifs du groupe et changer le modèle d'activité pour qu'elle ne se retrouve plus dans de telles difficultés.

    Pour le ministre Saccomanni, le gouvernement et la banque ont «fait du bon travail» et «les perspectives sont positives».


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  • Youtube: Publiée le 27 mai 2013


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  • Source:http://demosophie.com/fr/menuinicial/definiciondelademosophiaFR.htm

    http://www.demosophie.com/

    DÉMOSOPHIE

    Démosophie est un néologisme composé de "Demos" (peuple) et "Sophia" (sagesse). Ce néologisme a été enregistré pour la première fois en 1993 par Eric Fiorile, auteur d'un ouvrage du même nom (non publié), enregistré auprès de l'Institut de la Propriété Intellectuelle à Paris. En 2010, il publie cet ouvrage, réactualisé avec l’aide de nombreux libres penseurs de toute la planète, en plusieurs langues (Demosophy en anglais, Demosophía en espagnol, Demosofia en italien…).


    Ce livre décrit le concept de la Démosophie comme un modèle de société qui, au lieu d'être dirigée par l'oligarchie politique issue de la République, le serait par l'élite intellectuelle du pays, sans aucune sélection par la situation sociale, donc sans partis politiques, ni élections de dirigeants.


    Ce modèle mettrait en place des dirigeants sélectionnés par des études, puis par concours, n’ayant d’autres pouvoirs que ceux d’appliquer les directives de l’autorité suprême.
    L’autorité suprême serait exercée directement par le peuple tout entier selon une représentation basée sur un concept de « Conseil de sages » incluant la participation directe de chacun des citoyens du pays.


    Ce modèle de gouvernement interdirait toute forme de corruption, ce qui nuirait aux intérêts des multinationales et provoquerait l’enrichissement des individus et des petites entreprises au détriment des banques et des grandes sociétés.


    Le peuple deviendrait « l’état » en remplacement d’une classe politicienne qui serait condamnée à disparaître. Toutes les grandes entreprises, matières premières, et sources de production passeraient donc sous le contrôle direct du peuple, ce qui provoquerait un effondrement des prix dans tous les secteurs liés à l’énergie et une reprise économique générale qui parviendra peu à peu à compenser le pillage politique des cinquante dernières années.


    L’objectif est que la démosophie soit représentée dans divers pays à partir de 2012 lors d’élections présidentielles, tant pour mettre fin à la crise sociale et économique que pour offrir une autre alternative au « Nouvel Ordre Mondial Bancaire».


    Le concept démosophique est soutenu par des libres penseurs de tous pays, surtout dans les milieux scientifiques et dans la Presse libre.

     

    LIBRE PENSEUR

    "Libre penseur" ne correspond à aucune définition officielle, c'est un terme employé par opposition aux "conditionnés à croire".


    Tout le système de société a toujours été basé sur la direction d'une masse par quelques uns qui avaient intérêt à conserver cette masse assujettie à leur volonté. A cet effet, ils ont usé de la superstition, puis se sont servi de la religion, enfin de la politique et des grandes théories sociales ou économiques.


    Ceux qui dirigent ont donc toujours utilisé l’enseignement comme support, à travers le catéchisme ou la scolarité, pour commencer le conditionnement des jeunes enfants le plus tôt possible. Les "conditionnés à croire" ont donc été victimes autant du berceau culturel (la société qui les entoure), que de l'environnement familial, puis de l'enseignement officiel (l'histoire présentée).


    Le libre penseur est celui qui a pris conscience de ce conditionnement, puis s'en est débarrassé peu à peu en développant trois qualités essentielles à la libre pensée: d'abord le scepticisme (douter de l'élément mais aussi de chacun des éléments-source ayant participé à sa création), ensuite le refus absolu de toute autre autorité que sa propre raison (même si celle-ci l'oblige à aller contre les conformismes ou les dogmes admis par tous), enfin la simple logique.

     
    Pour ces raisons, il n'accepte pas facilement qu'on veuille lui en imposer sans explication: il veut comprendre, dans quelque domaine que ce soit.


    Le libre penseur est aussi celui qui n'hésite pas, sur les sujets qui l'intéressent, à pousser loin ses investigations afin d'obtenir ce qui s'approche le plus de la certitude, mais en restant pleinement conscient que cette certitude n'a rien d'absolu, c'est-à-dire qu'il conserve encore un doute quant aux conclusions de sa propre raison.


    Le leitmotiv majeur de sa raison est le "bon sens", ce qui l'amène à avoir une tendresse particulière pour Thomas Paine et Voltaire, un profond mépris pour la politique et les gouvernants, et une tendance forte à l'humanisme.


    Ajoutons encore qu'aujourd'hui, il est de ceux qui ne croient pas obtenir de véritables informations en allumant un poste de télévision ou en ouvrant un journal. Ajoutons aussi qu'il ne trouve pas facilement d'interlocuteurs qui lui ressemblent, ce qui l'amène souvent à se sentir "différent", "isolé".


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  • Dans la plupart des pays d'Europe, le chômage sévit, laissant toute une
    population de millions de personnes abandonnée à une aumone sociale de
    survie minimum. Et si tout cela était parfaitement volontaire!


    Youtube: Publiée le 11 juil. 2013


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