• Ajoutée le 1 déc. 2015

    La vidéo d'ARTE TV ne semble pas lisible dans tous les pays, c'est la raison de cette copie !

    VIVRE SANS SOLEIL par la création artificielle et chimique de nuages (plus de 50 ans de recherches top-secret en GEO-INGENIERIE) si nous n'avons pas le courage de changer notre manière de consommer


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  • Ajoutée le 4 juil. 2016

    Pour en savoir plus : https://www.celinealvarez.org
    Posez vos questions et échangez sur : https://forum.celinealvarez.org

    Extrait de la conférence "Fondamentaux pour une transition pédagogique en maternelle".


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  • Source : http://www.ouest-france.fr/economie/automobile/tout-ce-qui-change-en-2017-pour-les-automobilistes-4715103

     

    • Flash avec une voiture de société : vous aurez le retrait de points

    Dans votre vie d’automobiliste, beaucoup de choses évoluent ces jours-ci. Certaines règles de conduite sont déjà en vigueur.

    PV sans que vous soyez arrêté : 7 infractions concernées en plus

    Jusqu’à aujourd’hui, peu d’infractions pouvaient être relevées sans que vous soyez arrêté par les policiers. Il y avait les excès de vitesse, bien sûr ; mais aussi les feux rouges et les stop grillés, le stationnement gênant ou interdit, et la circulation dans les couloirs de bus. Mais c’était tout.

    Désormais, sept nouvelles infractions peuvent être relevées sans que vous soyez intercepté :

    - la ceinture de sécurité non bouclée 

    - l'utilisation du portable au volant, lorsqu’il est tenu en main

    - la circulation ou l'arrêt sur les bandes d'arrêt d'urgence

    - le chevauchement ou le franchissement d’une ligne continue

    - le non-respect des règles de dépassement (si vous oubliez votre clignotant, que vous mordez sur une ligne continue, que vous vous rapprochez trop de la voiture ou du deux-roues doublé, ou que vous vous rabattez trop brutalement)

    - le non-respect des « sas-vélos » : cette zone qu’il faut laisser libre devant vous, lorsque vous vous arrêtez à un feu rouge (attention, c’est une règle assez récente – 1998 – et peu connue chez nous)

    - pour les scooters et les motos, le non-port du casque.

    Pour toutes ces infractions, vous pouvez recevoir un PV, chez vous, sans même avoir vu de policier : elles peuvent être relevées « à la volée », ou par vidéo.

    => Le problème : contester ces infractions va devenir, concrètement, impossible. Pour le téléphone au volant, il pourra arriver que les policiers aient mal vu. Il est arrivé que certains se soient fait arrêter, parce qu’ils se grattaient l’oreille. Dans ce cas, à moins de prouver, sur place, qu’il n’y a aucun téléphone à votre portée, impossible d’argumenter de votre bon droit.

    Flash avec une voiture de société : vous aurez le retrait de points

    Jusqu’ici, lorsque vous vous faisiez flasher (excès de vitesse ou feu rouge) avec une voiture de société, la plupart du temps, votre employeur payait l’amende ; vous lui remboursiez ; mais le conducteur précis de la voiture au moment de l’infraction n’était pas connu. Faute de conducteur identifié, il n’y avait aucun retrait de point.

    Fini.

    Maintenant, l’employeur est tenu de dénoncer son salarié. S’il ne le fait pas, il s’expose à une amende de 1 875 €. Autrement dit : il le fera. Selon la Sécurité Routière, ce sont jusqu’à présent deux millions de points qui n’étaient pas retirés. Ils le seront donc à partir d’aujourd’hui.

    => La difficulté : dans certaines entreprises, la traçabilité des conducteurs qui se succèdent au volant d’un véhicule de société n’est pas assuré jusqu’ici. Il va falloir mettre en place des systèmes qui permettent l’identification des conducteurs. Et que ce système soit réellement fiable. Sinon, gros litiges en perspective…

    Vitres sur-teintées : interdites à l’avant

    La volonté de l’Etat est de laisser visible le conducteur depuis l’extérieur. Avant tout, pour des raisons de sécurité publique ; accessoirement, pour verbaliser un automobiliste qui ne respecterait pas certaines règles, comme le téléphone tenu en main. Il ne faut donc pas que les vitres avant laissent passer moins de 70% de la lumière.

    Environ deux millions d’automobilistes se retrouvent donc en infraction. Et la sanction est très lourde : 135 € d’amende, 3 points retirés.

    => La difficulté : décoller les films sur-teintés n’est pas évident. Tentez le coup avec un sèche-cheveux ou un pistolet à vapeur (pour faire fondre la colle). Sinon, vous pouvez louer un nettoyeur à la vapeur ; ou avoir recours à de l’ammoniaque, que vous faites pénétrer jusqu’à la colle, en tailladant le film plastique (mais attention de ne pas rayer le verre ; et l’ammoniaque est toxique)

    => La polémique : il n’existe pas d’appareil homologué pour calculer le niveau de transparence des vitres. Les PV pourraient donc être contestables.

    Pièces d’occasion : proposées par les garagistes

    La possibilité de réparer une voiture avec des pièces d’occasion va être légalement généralisée. Aussi bien pour les interventions mécaniques qu’en carrosserie. L’idée est d’éviter un gaspillage (pénalisant pour l’environnement) et de ménager les finances des automobilistes : les réparations devraient coûter de l’ordre de 30% de moins, au final.

    Cette pratique existait déjà avec les pièces en échange standard ; et certains carrossiers avaient aussi recours à des pièces de « ré-emploi » pour réparer une voiture après accident. L’idée est d’élargir cette pratique. Mais pas à tout. Sont exclus de cette ré-utilisation tous les organes liés à la sécurité : trains roulants, éléments de freinage, direction.

    Et il ne faut pas, bien sûr, qu’il s’agisse d’une réparation au rabais. La même obligation de qualité est attendue de la part du garagiste ; et les réparations sont garanties de la même manière.

    La nouvelle loi entrera en vigueur fin janvier.

    => Le regret : il était initialement prévu que ce soient les garagistes qui, à chaque réparation, proposent au client l’emploi de pièces d’occasion ; ce sera finalement à vous, automobiliste, de le demander expressément. Deux devis vous seront alors présenté : un avec des pièces neuves, l’autre avec des pièces d’occasion.


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  • source: http://www.20minutes.fr/sante/1991775-20170108-lyon-sait-apres-13-deces-dus-grippe-maison-retraite

    GRIPPE Six des treize victimes avaient été vaccinées contre la grippe…

    Une maison de retraite (illustration).Une maison de retraite (illustration). - ISOPIX/SIPA

    Anissa Boumediene

    Le virus de la grippe a fait treize morts au sein d’une maison de retraite lyonnaise entre le 23 décembre et le 7 janvier. Au total, sur les 110 pensionnaires que compte l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) Korian Berthelot de Lyon, région où l’épidémie est très sévère, 72 d’entre eux ont contracté la grippe. Après ce drame, le ministère de la Santé a diligenté une enquête auprès de l’Inspection générale des services (Igas) pour faire la lumière sur les causes de cet « événement exceptionnel ». Ce dimanche, six des résidents touchés par la grippe étaient toujours hospitalisés, mais leurs jours ne sont pas en danger. Toutefois, l’événement, exceptionnel par son ampleur, soulève plusieurs questions. Toutes les mesures de prévention ont-elles été respectées ? Les pensionnaires de la maison de retraite étaient-ils tous vaccinés ? 20 Minutes fait le point.

    La vaccination contre la grippe est-elle obligatoire pour les pensionnaires de maisons de retraite ?

    En matière de prévention de la grippe, la vaccination est la première recommandation préconisée par les médecins et les professionnels des maisons de retraites. « La vaccination est évidemment un élément de prévention primordial contre le virus, et les personnels des maisons de retraites en informent les résidents », explique à 20 Minutes Romain Gizolme, directeur de l’association AD-PA (Association des directeurs au service des personnes âgées).

    Pourtant, au sein de l’établissement Korian Berthelot de Lyon, seuls 38 % des pensionnaires ont été vaccinés cette année, contre une moyenne nationale de 80 %, alors que la campagne vaccinale avait été lancée « dès octobre », a déclaré dimanche Paul-Emile Haÿ, le directeur médical de Korian. Une campagne suspendue lorsque l’épidémie s’est déclenchée, car « pour être vacciné, il ne faut pas présenter de syndromes infectieux », a expliqué le médecin coordonnateur chez Korian, Emilie Arabian. Des chiffres d’autant plus faibles que « la vaccination contre la grippe n’est pas obligatoire, rappelle Romain Gizolme. Si les pensionnaires de la maison de retraite ne souhaitent pas être vaccinés, rien ni personne ne peut les y contraindre, ils sont libres de leur choix ». Toutefois, sur les 72 résidents touchés par le virus de la grippe, plusieurs d’entre eux avaient été vaccinés, dont six des patients qui ont perdu la vie. Un phénomène qui pourrait être dû à « l’immunosénescence », le vieillissement du système immunitaire à partir de 65 ans, qui fait que les personnes âgées répondent moins bien aux vaccins.

    Toutefois, le vaccin reste la première des protections contre la grippe, particulièrement virulente cette année, surtout pour les personnes vulnérables.

    Les mesures de prévention ont-elles été respectées ?

    « Les maisons de retraite constituent un secteur très "protocolisé", avec des normes strictes rassemblées dans le Plan bleu, et appliquées tout au long de l’année, indique Romain Gizolme, et qui sont renforcées en cas de situation de crise ». Après s’être rendu au sein de l’EHPAD lyonnais vendredi, le directeur général de la santé « a constaté que, à cette date, les mesures de prévention étaient bien en place », a assuré le ministère de la Santé, qui a par ailleurs saisi l’Igas pour comprendre les circonstances du drame.

    Parmi les mesures de prévention observées par les EHPAD figurent « le rappel de l’importance de la vaccination, le renforcement des mesures d’hygiène, le lavage régulier des mains et l’utilisation de solution hydroalcoolique, énumère Romain Gizolme. Et si des symptômes grippaux sont détectés, les personnels mettent aussitôt en place le port du masque pour les pensionnaires touchés par le virus, et veillent à ce que les déplacements soient limités au sein de l’établissement, afin d’éviter la contagion. Des tests sont par ailleurs réalisés pour confirmer la présence de la grippe, auquel cas traitements médicaux voire hospitalisations sont décidés ».

    Le drame aurait-il pu être évité ?

    «Les personnes âgées sont particulièrement vulnérables et au sein des EHPAD, les mesures de confinement ou de limitation des déplacements sont parfois difficiles à faire observer à des résidents qui, du fait de leurs pathologies telles que la maladie d’Alzheimer, peuvent avoir des pertes de mémoire. Mais cet événement concerne un EHPAD sur les 10.000 que compte la France, c’est un cas gravissime, mais très rare », observe Romain Gizolme. A la maison de retraite Korian, on pointe également l’âge avancé des victimes, qui en moyenne 91 ans et demi.

    « Au-delà des protocoles, du respect des mesures de prévention et de l’investissement des personnels des EHPAD, le problème vient de ce que le secteur de l’aide aux personnes âgées connaît une crise majeure, il fonctionne en flux tendus avec manque de personnel d’environ 50 %, déplore celui qui dirige l’Association des directeurs au service des personnes âgées. En 2015, plus de 18.000 personnes sont décédées des suites de la grippe, principalement des personnes âgées vivant à domicile. C’est plus que lors de la canicule de 2003. Aujourd’hui, la question majeure est celle de l’accompagnement au quotidien des personnes âgées, de la nécessité de créer des emplois dans ce secteur ».

    Cette année, 169 foyers d’infections ont été observés dans des collectivités de personnes âgées, un chiffre en augmentation depuis deux semaines, selon Santé Publique France. Les plus de 80 ans représentant 63 % des hospitalisations pour grippe.


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  • Ajoutée le 6 mai 2014


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