• Loi Macron: Une « sodomie taftaïenne »

     Source: http://lesmoutonsenrages.fr/2015/06/17/loi-macron-une-sodomie-taftaienne-que-nous-allons-subir-a-tous-les-niveaux/#more-83022

     

    Cette loi Macron, disons-le clairement, c’est une arnaque totale proposée par un ex-banquier de la Rothschild (mon ennemi intime c’est la finance qu’il disait…), une libéralisation complète pour permettre la mise en place d’un traité de libre-échange entre les Etats-Unis et l’Europe dont personne ne veut, sachant que de plus, nous n’avons pas notre mot à dire. Il y a bien eu des pétitions, 200 000 signatures, 500 000, 1 millions de signatures, pour un impact nul puisque systématiquement elles sont parties à la poubelle, normal quand les dirigeants de l’UE travaillent pour la finance et le TAFTA. Car cette loi, c’est une loi fourre-tout, un gros blougui-boulga qui concerne tous les domaines, le travail le dimanche, les prud’hommes, les fêtes religieuses, les transports, et tous nous en subirons les conséquences.

    Notez au passage le silence total des médias sur les conséquences réelles à venir de cette loi, le silence des gros syndicats, le silence de la plupart des politiques qui se veulent opposés, quand aux manifestations… Elles ne durent que quelques heures avec des personnes souvent trop peu informées, et le lendemain tout redevient normal. Sans bloquer le pays durant une période indéterminée, rien ne changera!

    Le pire, le 49.3, preuve que le gouvernement tellement impopulaire a peur de tenter le vote traditionnel pour imposer la loi façon dictature, une utilisation de la constitution qui les arrange bien, eux qui ne la respectent pas depuis des décennies.

     

    Loi Macron: Une « sodomie taftaïenne »

     

    Pour la seconde fois en moins de six mois, Manuel Valls a engagé ce mardi 16 juin la responsabilité de son gouvernement pour permettre l’adoption sans vote du projet de loi Macron en seconde lecture. Une manière de couper court aux débats interminables qui s’annonçaient et qui divisent toujours profondément le groupe socialiste.

    Confirmant ce qu’il avait confié à des députés la veille, le premier ministre a annoncé officiellement devant les parlementaires qu’il engageait sa responsabilité via l’article 49-3 de la Constitution, interrompant dès le premier jour les débats qui devaient durer jusqu’au 24 juin avec l’examen de plus de 1.000 amendements.

    Après une séance de questions au gouvernement plutôt houleuse, où l’opposition a une nouvelle fois dénoncé « un Parlement piétiné » par l’exécutif, la discussion sur la loi Macron, qui ne devait débuter que dans la soirée, a été avancée à 16h.

     

    La droite avait au préalable dénoncé la « panique » du gouvernement tandis que le Front de Gauche et l’aile gauche du PS, réunie dans la motion B au congrès de Poitiers, regrettaient un « aveu de faiblesse » de l’exécutif, contraint de passer en force y compris sur des mesures qui ne figuraient pas dans la première version du texte adoptée en février dernier.

    La loi Macron sera considérée comme adoptée en nouvelle lecture en fin de semaine, à moins que le gouvernement ne soit renversé par une motion de censure que déposera la droite mais dont les chances d’aboutir sont minimes. Après une ultime navette avec le Sénat, le texte devrait être définitivement adopté par l’Assemblée fin juillet.

    Source+vidéo sur le Huffingtonpost.fr


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