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    Le Point.fr - Publié le 11/04/15 à 16h17

    Facebook traque les internautes qui ne sont pas inscrits sur le réseau

    Après les accusations de chercheurs de l'université de Louvain, le réseau social a évoqué un bug qui serait sur le point d'être résolu.

    La révélation ne va pas redorer l'image de Facebook. Alors que 25 000 personnes ont déposé un recours collectif contre le réseau social, un rapport révèle que le site espionne les internautes, même quand ces derniers sont déconnectés. C'est la découverte de chercheurs de l'université catholique de Louvain et publiée le 31 mars dernier. Pour cela, le réseau social place un "cookie", c'est-à-dire un petit fichier enregistré par l'ordinateur d'un utilisateur, qui collecte des données de navigation, explique Le Monde. "Quand un utilisateur de Facebook se déconnecte, Facebook continue de le tracer avec des cookies", rapporte le rapport. Le réseau social peut alors proposer plus facilement de la publicité ciblée.

    Pire, le réseau social piste également les internautes... qui ne sont pas inscrits sur Facebook. En effet, il suffit de consulter l'une des pages du réseau accessible à tous, à l'instar de celle d'une célébrité, pour que le site vienne placer le fameux "cookie".

    Facebook se défend

    Les révélations ne s'arrêtent pas là. Toujours selon les chercheurs, il serait difficile de se débarrasser desdits cookies. Pourtant, le site européen Your online choices permet en théorie de désactiver ces petits fichiers. Le problème ? Facebook aurait également placé un cookie sur ce site. Et ce dernier est tenace. Il peut vous suivre pendant deux ans, même si vous n'êtes pas inscrit sur le réseau social.

    Après ces accusations, Facebook n'a pas tardé à réagir. Dans un billet de blog publié mercredi 8 avril, le réseau social admet avoir "trouvé un bug qui aurait pu envoyer des cookies à quelques personnes qui n'étaient pas sur Facebook". Ce bug est en train d'être réparé, poursuit l'entreprise, qui assure que "ce n'était pas (son) intention". Toutefois, le réseau social n'a pas réagi quant à la présence d'un cookie sur le site Your online choices.


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  • eco2013: À qui profite le crime ? à ceux qui touche un pourcentage sur chaque carte, chaque transaction, de plus une belle occasion de supprimer l'argent liquide....

    Source: http://news.radins.com/actualites/le-paiement-sans-contact-ineluctable,12524.html?utm_source=newsletter_jt_13h&utm_medium=email&utm_campaign=13-04-15

     

    Vendredi 10 avril, étaient réunis à Bercy des acteurs du paiement sans contact (dispositif NFC) réunis autour d'Axelle Lemaire, secrétaire d'Etat chargée du numérique. Mettant en avant leurs chiffres ils ont voulu se montrer rassurant mais n'ont pas manqué de marquer leur volonté de développement à grand renfort de formules chocs.

    Le paiement sans contact inéluctable

    Une révolution en marche

    L'une d'elles, « La révolution est en marche et rien ne l'arrêtera. » résume bien la volonté des acteurs d'imposer ce mode de paiement rapide et sans contact. Le nombre de cartes bancaires équipées de cette technologies a augmenté de près de 60% entre 2013 et 2014. Le paiement sans contact permet de régler les achats de moins de 20 euros sans taper son code mais en posant simplement sa carte contre la machine.

    L'argument de la sécurité d'un tel système est continuellement mis en avant et pointé du doigt par l'UFC-Que choisir. L'association de consommateurs dénonce la facilité d'utilisation en cas de vol et les failles de sécurité. Le choix fait par les banques de ne pas chiffrer les données échangées entre la carte et le terminal est une des principales critiques. Un consultant en sécurité cité par l'UFC-Que choisir s'exclamait que « les cartes bancaires qui possèdent le dispositif NFC sont moins protégées qu'une carte permettant de prendre le métro ».

    Des craintes fondées ?

    En effet il y a de quoi être effrayé quand on sait que des experts de la cybersécurité en ont déjà pointé les failles. Des développeurs ont d'ailleurs créé des applications aspirant la série de chiffres sur la carte. Mais les acteurs publics et privés favorable à cette solution signalent qu'aucune fraude n'a encore été détectée, et que les possibilités de récupération des données ne sont que des rumeurs.

    Il est « plus facile de voler un portefeuille », selon Olivier Piou, directeur général de Gemalto, le leader mondial de la sécurité numérique. Des arguments qui se veulent rassurant mais reste simplistes voire infantilisants quand on connait l'enfer des fraudes à la carte aux Etats-Unis. Selon ses promoteurs, toutes les cartes bancaires seront dotées de cette technologie à la fin 2016. Tant pis pour ceux qui ne sont pas d'accord, les banques imposent déjà cette option par défaut à bien des clients.


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  • Mise en ligne le 4 sept. 2011


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  • source: http://www.20minutes.fr/economie/1584203-20150410-carrefour-rappel-lampes-torche-presentant-risque-eclatement

     

    Carrefour: Rappel de lampes-torche présentant un risque d'éclatement

    Le groupe de distribution Carrefour a annoncé vendredi procéder à un rappel d'un modèle de lampes-torche présentant «un éventuel risque d'éclatement». Les produits concernés sont «des projecteurs rechargeables rouges DY029491» de marque Carrefour, en vente dans les hypermarchés du groupe «depuis mars 2014», a signalé le groupe dans un communiqué.

    «Les clients qui détiennent le produit sont priés de ne plus l'utiliser, ni de le manipuler (ne pas le débrancher) et de contacter le service consommateurs au numéro suivant: 0 805 900 024 (appel gratuit depuis un poste fixe), pour connaître la démarche à suivre et les modalités de remboursement», a-t-il ajouté. «3.437 pièces ont été écoulées depuis mars 2014», a précisé un porte-parole à l'AFP.

     

     


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  • Mise en ligne le 17 févr. 2011


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