• UBER

    eco2013: Toujours la même méthode... Uber sur le marché à des prix compétitifs...
    Benji a une phrase qui résume très bien: «Rouler pour Uber, c’est faire du vélo sans selle».
    Réveillez vous braves gens: Uber c'est dire adieu à nos retraites, nos heures sup., aux indemnités chômages, à la sécu, le SMIC à 300 €. etc... en résumé: NOUS FAIRE CREUVER.... LE TAFTA UNE VÉRITABLE MACHINE DE GUERRE

    source: http://lesmoutonsenrages.fr/2015/07/16/la-commission-europeenne-verifiera-la-legalite-de-linterdiction-de-luber/

     

    Les taxis français ont gagné une bataille, mais ils sont très très loin d’avoir gagné la guerre, malgré les méthodes utilisées pour parvenir à faire interdire l’entreprise aux relents de TAFTA. Car au final, cela va être à la commission européenne de décider si oui ou non, Uber peut être interdit, et partant du principe que la commission européenne est complètement corrompue et soumise aux lobbys, il y a fort à parier qu’Uber fasse son retour dans le pays. N’oubliez pas deux choses capitales:

    Les taxis vont donc devoir repasser à l’attaque, ou accepter une mort programmée… Quand à ceux étant tenté par Uber, sachez à quoi vous attendre: «Rouler pour Uber, c’est faire du vélo sans selle».

    Interdit en France et en Allemagne, le service Uber déclare que les lois sur les services de taxi et la législation antitrust de ces pays transgressent les normes de l’UE.

    La Commission européenne va vérifier la conformité aux normes européennes des législations nationales en matière de services des transports. C’est une plainte du service Uber qui a poussé la Commission à le faire, lit-on dans les médias.

    La Commission a envoyé des lettres aux autorités françaises afin d’attirer leur attention sur la gravité des violations potentielles de la législation de l’UE. En même temps, un juge espagnol se prépare à saisir la Cour de justice de l’Union européenne afin qu’elle clarifie si le service Uber est une plateforme digitale ou un fournisseur de services des transports.

    « Uber est une plateforme digitale. On essaie de lui appliquer des normes et des règles pour les services de transport qui ont été écrites dans les années 1950″, indique le service de presse d’Uber. Selon lui, ces règles anciennes sont utilisées pour limiter la concurrence. »Nous comprenons que les nouvelles technologies peuvent changer considérablement les règles traditionnelles, mais nous croyons que c’est justement une voie qui ouvre des possibilités nouvelles à tous les chauffeurs, dont ceux de taxi, ainsi qu’aux passagers », indique Uber.

    Aujourd’hui Uber est utilisé par un million de passagers chaque jour. Uber se considère comme un service complémentaire par rapport aux transports urbains.

    Suite aux manifestations violentes qui se sont déroulées dans plusieurs villes françaises en juin dernier, le groupe Uber a annoncé la suspension du service UberPop en France.

    Le président et le premier ministre français se sont prononcés pour l’interdiction de l’application UberPop en France.

    Source: Sputniknews

    Ce qu’il ne faut surtout pas oublier, c’est que s’il s’agit ici des taxis, ce n’est qu’un exemple de ce qui est en train d’arriver en Europe, tous les métiers au final peuvent être concernés, le TAFTA, c’est le profit pour la finance avant tout, et toute une bande d’esclaves pour les enrichir. Les taxis ont un combat à mener, et ce n’est pas uniquement LEUR combat mais également le notre. STOP TAFTA.


     


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