• Octobre 2013 = Octobre 1929 (puissance 10) ?

    De laisser la création monétaire
    aux banques privées,
    voilà où cela nous mène..... dans le mur....


    Source: 20 Minutes
    Créé le 15/10/2013 à 17h17 -- Mis à jour le 15/10/2013 à 20h11            

     Barack Obama à la Maison Blanche à Washington DC, le 11 octobre 2013

    Barack Obama à la Maison Blanche à Washington DC, le 11 octobre 2013 Jewel Samad AFP

    Washington - Le ton est monté mardi à Washington à deux jours de l'échéance d'un possible défaut de paiement catastrophique des Etats-Unis, les républicains de la Chambre tentant d'arracher des concessions sur fond de négociations de dernière minute.

    A l'issue de 15 jours de paralysie de l'Etat fédéral faute d'accord sur le budget, les chefs de file du Sénat ont prévu de dévoiler mardi un plan pour résoudre la crise et relever in extremis le plafond légal de la dette.

    Mais les républicains majoritaires à la Chambre des représentants ont tenté de revenir dans le jeu en préparant leur propre plan, qui suivrait les grandes lignes de celui du Sénat mais s'en prendrait davantage à la réforme de l'assurance-santé promulguée par le président Barack Obama en 2010 et abhorrée par les conservateurs.

    Cette tentative a été rejetée sans appel par les démocrates de l'exécutif et du Congrès.

    «Le président a dit et répété que les membres du Congrès n'avaient pas à exiger de rançon pour assumer leurs responsabilités fondamentales de voter un budget et de payer les factures du pays», a expliqué une porte-parole de la Maison-Blanche, Amy Brundage, estimant que «malheureusement, c'est ce que fait la dernière proposition des républicains de la Chambre».

    Mme Brundage a accusé les dirigeants républicains de cette assemblée d'avoir élaboré cette proposition «pour plaire à un petit groupe de républicains du Tea Party, ceux-là mêmes qui ont déclenché la paralysie de l'Etat» depuis le 1er octobre.

    Le chef de la majorité démocrate au Sénat, Harry Reid, a quant à lui laissé échapper sa colère en qualifiant en séance la proposition républicaine d'«attaque en règle contre la coopération entre les deux partis». «Que ce soit clair: le texte de loi de la Chambre ne passera pas au Sénat», a-t-il prévenu.

    Pris en tenaille entre sa volonté affichée de ne pas laisser la première économie mondiale faire défaut et la pression d'élus soutenus par le Tea Party, influent mouvement populiste d'ultra-droite hostile au compromis, M. Boehner ne s'est pas engagé lors d'une courte conférence de presse mardi.

    «Il y a beaucoup d'opinions sur la direction à prendre. Aucune décision n'a été prise sur ce que nous allons faire, exactement», a-t-il dit. Quelle que soit la solution choisie, elle devra être entérinée par les deux chambres du Congrès avant d'être promulguée par M. Obama.

    Wall Street dans le rouge

    Avant ces développements à l'issue incertaine, l'espoir d'un accord au Sénat avait donné mardi matin un coup de fouet aux Bourses mondiales: Tokyo a terminé en hausse, suivi par les principales places européennes. Francfort a même atteint un nouveau sommet historique.

    Mais à la mi-journée, l'indice Dow Jones évoluait légèrement dans le rouge (-0,34%) à Wall Street.

    M. Reid a répété mardi que «des négociations productives se produisent avec le dirigeant républicain» du Sénat, Mitch McConnell.

    «Je suis confiant dans le fait que nous allons parvenir à un accord complet cette semaine, à temps pour éviter un défaut de paiement», a-t-il ajouté.

    Le plan élaboré par les deux hommes devrait être présenté en journée au groupe des sénateurs républicains. Il comprendrait, selon plusieurs médias américains, une mesure permettant au Trésor de continuer à emprunter jusqu'au 7 février, et à l'Etat fédéral de rouvrir entièrement jusqu'au 15 janvier.

    En échange, les démocrates offriraient des concessions sur certains aspects de la réforme du système de santé, élément déclencheur de la crise actuelle, notamment en renonçant à une taxe sur les sociétés d'assurance.

    Des négociations budgétaires formelles via une commission bicamérale seraient immédiatement engagées, portant sur le reste de l'année budgétaire 2014.

    Mais une telle «supercommission» n'avait déjà pas réussi à trouver une solution budgétaire en 2011, ouvrant la voie à une cure d'austérité forcée toujours en vigueur.

    «Etant donné le succès de telles commissions, il s'agit d'une tactique dilatoire qui augure de nouvelles batailles acharnées à l'avenir pour l'administration» Obama, a commenté Sébastien Galy, analyste à la Société Générale.

    Faute de relèvement du plafond de la dette, le Trésor a prévenu qu'il ne pourrait plus emprunter à partir de jeudi et qu'il risquait rapidement de ne plus pouvoir assurer tous ses paiements, à une date difficile à prédire mais qui pourrait se situer entre les 22 et 31 octobre, selon le Bureau du budget du Congrès.

    Le sort du dollar, monnaie de réserve mondiale, et celui des bons du Trésor, placements réputés les plus sûrs de la planète, pourraient être en jeu.


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  • Source: 20 minutes
    Créé le 09/10/2013 à 17h48 -- Mis à jour le 09/10/2013 à 19h28                

    Un sapeur-pompier

    Un sapeur-pompier Philippe Huguen AFP

    SOCIETE - Les pompiers, réunis en congrès à Chambéry jusqu'à samedi, tirent la sonnette d'alarme...

    Les pompiers, réunis en congrès à Chambéry jusqu'à samedi, tirent la sonnette d'alarme: les fermetures de casernes et la diminution du nombre de pompiers volontaires «menacent» le système de secours à la française.

    Une forte baisse des volontaires

    De mercredi à samedi, la ville de Savoie accueille «la plus grande caserne de France», avec 40.000 visiteurs, 400 exposants et 2.000 congressistes sapeurs-pompiers professionnels et volontaires qui se retrouvent pour discuter de leur mission, de leur matériel et de leurs inquiétudes.

    Point d'orgue de ce 120e congrès: la visite samedi matin du président François Hollande. Il prononcera un discours devant les sapeurs-pompiers comme Nicolas Sarkozy en 2011 et Jacques Chirac en 1999. A ses côtés, il aura celui qui se présente comme «le premier pompier de France», le ministre de l'Intérieur Manuel Valls.

    Pour le président et son ministre, la balade dans les travées du congrès ne sera pas une promenade de santé. «Les sollicitations augmentent, des casernes ferment et le nombre des volontaires diminue : notre présence sur le territoire s'effrite. Pour chaque pompier, la charge moyenne est de plus en plus grande. Certains craquent et démissionnent», tonne le colonel Éric Faure, président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France.

    «Notre système qui repose sur la complémentarité entre fonctionnaires (les pompiers professionnels) et citoyens engagés (les volontaires) est menacé», prévient-il.

    Sur les 250.000 pompiers qu'on comptait en France en 2012, 195.200 étaient des volontaires, soit 79%. Ils sont 6.000 de moins qu'il y a six ans. Rien qu'en un an, leur nombre a diminué de 2.200. «La baisse s'accélère», constate Éric Faure.

    «Il faut vite s'engager dans une politique d'augmentation du nombre des pompiers volontaires. Sans ça, la charge sera trop importante et on ne pourra plus faire vivre des casernes qui risquent de fermer», prévient le colonel.

    571 casernes ont fermé en 5 ans

    Pour lui les volontaires ne sont pas assez considérés, pas assez nommés à des postes d'encadrement dans les casernes (22% seulement des cadres sont des volontaires) et pas assez payés (une proposition de revalorisation a été refusée). La fédération souhaite que le volontariat devienne une cause nationale avec campagne de recrutement et revalorisation à l'appui.

    Dans cette perspective, un «plan d’action pour le volontariat» dont le contenu n'est pas encore précisé sera signé vendredi par le ministre de l'Intérieur et les représentants des pompiers et des collectivités locales.

    Autre inquiétude : les casernes qui ferment. Il y a 7.300 casernes de pompiers en France. 571 ont fermé au cours de ces cinq dernières année et «d'ici la fin de l'année, une trentaine de casernes auront fermé», s'alarme le président de la fédération.

    Les pompiers pointent aussi les conséquences «inquiétantes» de l'application d'une directive européenne sur le temps de travail. A compter du 1er janvier prochain, celle-ci va faire passer le seuil maximum de temps de travail annuel des pompiers de 2.400 à 2.200 heures. «Un delta qui va provoquer des dégâts», selon Patrice Beunard, président du syndicat national des sapeurs-pompiers professionnels (SNSPP).

    «Ras-le-bol»

    Les pompiers soulignent enfin le manque de considération dont ils font l'objet. «Depuis Pâques 2012, il y a eu cinq promotions de la Légion d'honneur et seulement un pompier de décoré», s'étrangle Éric Faure.

    «Le ministère de l'Intérieur est extrêmement attentif aux revendications des sapeurs-pompiers, professionnels et volontaires», répond-on place Beauvau. «Les échanges avec leurs représentants (...) sont permanents, notamment en ce qui concerne le développement et la défense du volontariat.»

    «Y en a ras-le-bol, ça va chauffer», prédit dans un sourire Raymond Feltre, pompier volontaire dans le Lot-et-Garonne. «Dans les discours, on est toujours les plus forts, les meilleurs, mais derrière, il n'y a pas d'acte concret sur la rémunération ou la reconnaissance», dit-il.

    Dans sa commune de 3.500 habitants, Castillonnès, il y a «16 ou 17 pompiers», tous volontaires. Il en faudrait une dizaine de plus «mais beaucoup de jeunes abandonnent au bout de six mois», regrette-t-il.


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  • Quand JP Morgan fera faillite,
    ATTENTION "Copier/Coller" 1929 puissance 10 :-(

    Voir: 1929 - La Grande Depression


    Source: http://www.20minutes.fr/

    Créé le 11/10/2013 à 20h15 -- Mis à jour le 11/10/2013 à 20h58
                 
    Le siège de JPMorgan Chase à New York

    Le siège de JPMorgan Chase à New York Timothy A. Clary AFP

    New York - La banque JPMorgan Chase a enregistré au troisième trimestre sa première perte depuis près de 10 ans, plombée par des dépenses juridiques qui s'accumulent en raison d'une avalanche de poursuites des autorités américaines.

    La première banque américaine en termes d'actifs a perdu 380 millions de dollars entre juillet et septembre, alors qu'elle avait gagné 5,7 milliards de dollars à la même période un an auparavant, a-t-elle annoncé vendredi dans un communiqué.

    Hors éléments exceptionnels, le groupe affiche toutefois un bénéfice de 1,42 dollar par action, dépassant les prévisions de Wall Street.

    La banque est tombée dans le rouge à cause d'une charge juridique massive de 9,2 milliards de dollars avant impôts. Au total, les réserves juridiques du groupe s’élevaient à 23 milliards de dollars à la fin du trimestre.

    «Bien que nous ayons de solides résultats sous-jacents dans l'ensemble de nos activités, ce trimestre a malheureusement été marqué par de lourdes dépenses juridiques», a commenté le PDG Jamie Dimon dans le communiqué.

    L'ex-enfant modèle de Wall Street a vu ses relations avec les autorités américaines se tendre ces derniers mois, et fait l'objet de multiples poursuites ou enquêtes de la part de nombreuses agences gouvernementales sur divers fronts (dérivés de prêts immobiliers, courtage d'électricité, corruption en Chine, affaire de la «Baleine de Londres», etc).

    La banque a, à mots à peine déguisés, plaidé la clémence du gouvernement, avec lequel elle négocie un accord amiable qui pourrait atteindre 11 milliards de dollars, voire plus.

    M. Dimon a appelé à «un accord amiable juste et raisonnable» sur les problèmes liés aux titres dérivés de prêts hypothécaires qui «prenne en compte les circonstances exceptionnelles des (rachats) de Bear Stearns et Washington Mutual, réalisés à la demande ou sous l'impulsion du gouvernement des Etats-Unis».

    De nombreux prêts de mauvaise qualité ont été hérités de Bear Stearns et Washington Mutual, rachetées en 2008 pendant la crise. La banque les a revendus à de nombreux investisseurs privés et aux organismes de refinancement publics Fannie Mae et Freddie Mac, qui ont alors essuyé des pertes massives et ont dû être renfloués par l'Etat.


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  • Magali Pernin: http://www.contrelacour.fr/


    Youtube: Publiée le  8 oct. 2013


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