• Ajoutée le 25 févr. 2017

    "Ce sont des ouvriers qui sont touchés, et donc on en a rien à foutre". Le coup de gueule de François Ruffin contre les délocalisations lors de la remise du César du meilleur documentaire pour "Merci Patron !"


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  • Source : http://www.ouest-france.fr/economie/automobile/tout-ce-qui-change-en-2017-pour-les-automobilistes-4715103

     

    • Flash avec une voiture de société : vous aurez le retrait de points

    Dans votre vie d’automobiliste, beaucoup de choses évoluent ces jours-ci. Certaines règles de conduite sont déjà en vigueur.

    PV sans que vous soyez arrêté : 7 infractions concernées en plus

    Jusqu’à aujourd’hui, peu d’infractions pouvaient être relevées sans que vous soyez arrêté par les policiers. Il y avait les excès de vitesse, bien sûr ; mais aussi les feux rouges et les stop grillés, le stationnement gênant ou interdit, et la circulation dans les couloirs de bus. Mais c’était tout.

    Désormais, sept nouvelles infractions peuvent être relevées sans que vous soyez intercepté :

    - la ceinture de sécurité non bouclée 

    - l'utilisation du portable au volant, lorsqu’il est tenu en main

    - la circulation ou l'arrêt sur les bandes d'arrêt d'urgence

    - le chevauchement ou le franchissement d’une ligne continue

    - le non-respect des règles de dépassement (si vous oubliez votre clignotant, que vous mordez sur une ligne continue, que vous vous rapprochez trop de la voiture ou du deux-roues doublé, ou que vous vous rabattez trop brutalement)

    - le non-respect des « sas-vélos » : cette zone qu’il faut laisser libre devant vous, lorsque vous vous arrêtez à un feu rouge (attention, c’est une règle assez récente – 1998 – et peu connue chez nous)

    - pour les scooters et les motos, le non-port du casque.

    Pour toutes ces infractions, vous pouvez recevoir un PV, chez vous, sans même avoir vu de policier : elles peuvent être relevées « à la volée », ou par vidéo.

    => Le problème : contester ces infractions va devenir, concrètement, impossible. Pour le téléphone au volant, il pourra arriver que les policiers aient mal vu. Il est arrivé que certains se soient fait arrêter, parce qu’ils se grattaient l’oreille. Dans ce cas, à moins de prouver, sur place, qu’il n’y a aucun téléphone à votre portée, impossible d’argumenter de votre bon droit.

    Flash avec une voiture de société : vous aurez le retrait de points

    Jusqu’ici, lorsque vous vous faisiez flasher (excès de vitesse ou feu rouge) avec une voiture de société, la plupart du temps, votre employeur payait l’amende ; vous lui remboursiez ; mais le conducteur précis de la voiture au moment de l’infraction n’était pas connu. Faute de conducteur identifié, il n’y avait aucun retrait de point.

    Fini.

    Maintenant, l’employeur est tenu de dénoncer son salarié. S’il ne le fait pas, il s’expose à une amende de 1 875 €. Autrement dit : il le fera. Selon la Sécurité Routière, ce sont jusqu’à présent deux millions de points qui n’étaient pas retirés. Ils le seront donc à partir d’aujourd’hui.

    => La difficulté : dans certaines entreprises, la traçabilité des conducteurs qui se succèdent au volant d’un véhicule de société n’est pas assuré jusqu’ici. Il va falloir mettre en place des systèmes qui permettent l’identification des conducteurs. Et que ce système soit réellement fiable. Sinon, gros litiges en perspective…

    Vitres sur-teintées : interdites à l’avant

    La volonté de l’Etat est de laisser visible le conducteur depuis l’extérieur. Avant tout, pour des raisons de sécurité publique ; accessoirement, pour verbaliser un automobiliste qui ne respecterait pas certaines règles, comme le téléphone tenu en main. Il ne faut donc pas que les vitres avant laissent passer moins de 70% de la lumière.

    Environ deux millions d’automobilistes se retrouvent donc en infraction. Et la sanction est très lourde : 135 € d’amende, 3 points retirés.

    => La difficulté : décoller les films sur-teintés n’est pas évident. Tentez le coup avec un sèche-cheveux ou un pistolet à vapeur (pour faire fondre la colle). Sinon, vous pouvez louer un nettoyeur à la vapeur ; ou avoir recours à de l’ammoniaque, que vous faites pénétrer jusqu’à la colle, en tailladant le film plastique (mais attention de ne pas rayer le verre ; et l’ammoniaque est toxique)

    => La polémique : il n’existe pas d’appareil homologué pour calculer le niveau de transparence des vitres. Les PV pourraient donc être contestables.

    Pièces d’occasion : proposées par les garagistes

    La possibilité de réparer une voiture avec des pièces d’occasion va être légalement généralisée. Aussi bien pour les interventions mécaniques qu’en carrosserie. L’idée est d’éviter un gaspillage (pénalisant pour l’environnement) et de ménager les finances des automobilistes : les réparations devraient coûter de l’ordre de 30% de moins, au final.

    Cette pratique existait déjà avec les pièces en échange standard ; et certains carrossiers avaient aussi recours à des pièces de « ré-emploi » pour réparer une voiture après accident. L’idée est d’élargir cette pratique. Mais pas à tout. Sont exclus de cette ré-utilisation tous les organes liés à la sécurité : trains roulants, éléments de freinage, direction.

    Et il ne faut pas, bien sûr, qu’il s’agisse d’une réparation au rabais. La même obligation de qualité est attendue de la part du garagiste ; et les réparations sont garanties de la même manière.

    La nouvelle loi entrera en vigueur fin janvier.

    => Le regret : il était initialement prévu que ce soient les garagistes qui, à chaque réparation, proposent au client l’emploi de pièces d’occasion ; ce sera finalement à vous, automobiliste, de le demander expressément. Deux devis vous seront alors présenté : un avec des pièces neuves, l’autre avec des pièces d’occasion.


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  • source: http://www.20minutes.fr/monde/1988367-20170102-finlande-premier-pays-europeen-experimenter-revenu-base

    ECONOMIE Plus de 2.000 chômeurs finlandais de 25 à 58 ans, choisis au hasard, vont percevoir 560 euros par mois…

    Des billets de 500 euros au séchage (illustration).Des billets de 500 euros au séchage (illustration). - POLIZEI WIEN / AFP

    20 Minutes avec agence

    Alors que l’idée d’un revenu universel fait débat en France, la Finlande, elle, a franchi le pas. Elle est devenue dimanche le premier pays européen à expérimenter un « revenu de base ». Le Premier ministre centriste, Juha Sipilä, en avait fait un argument de sa campagne électorale.

    Plus de 2.000 chômeurs finlandais de 25 à 58 ans vont percevoir 560 euros par mois, rapporte L’Express. Ce test, qui doit s’achever dans deux ans, concerne des personnes choisies au hasard. Elles seront suivies et leur parcours comparé à un groupe de demandeurs d’emploi qui perçoit des indemnités sociales classiques.

    Un système actuel jugé complexe

    Ce « revenu de base » ne coupe pas celui qui le perçoit d’autres aides, puisque les participants à ce projet pilote percevront encore l’assurance maladie et une allocation logement. Ils pourront même conserver leur « revenu de base » s’ils retrouvent un emploi.

    Si le retour à l’emploi est favorisé par le « revenu de base », alors il pourrait être appliqué à tous les Finlandais en âge de travailler. Le système actuel, débloqué en cas de perte d’emploi mais jugé complexe, pourrait alors être abandonné.


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  • Source: https://lesbrindherbes.org/2016/12/27/triste-disparition-de-claire-severac-militante-activiste-defendait-sante/

    Claire Séverac nous a quittés: hommage à une activiste qui dérangeait diablement l’establishment…

    C’est avec STUPEFACTION mais aussi, bien entendu, avec une immense tristesse que nous venons d’apprendre le DECES de notre collègue et amie CLAIRE SEVERAC, auteur des best-sellers remarquables « Complot mondial contre la santé » et surtout « La guerre secrète contre les peuples« , ouvrages terriblement gênants s’il en est pour le système mafieux en place! Claire Séverac, collègue et amie de l’inoubliable Sylvie Simon, était également l’auteur avec celle-ci de l’excellent livre « La coupe est pleine. Nos enfants sont plus précieux que le CAC40« . Tout comme Sylvie, Claire Séverac s’était également très fortement mobilisée pour soutenir les victimes de l’innommable vaccination contre le papillomavirus (Gardasil et Cervarix) et dénoncer auprès du public dans de nombreuses vidéos cette arnaque sanitaire hors du commun…

    Claire Séverac en conférence au Théâtre de la Main d’or le 19 septembre 2015

    Claire Séverac en conférence au Théâtre de la Main d’or le 19 septembre 2015

    Le site Egalité et réconciliation a posté il y a il y a 5 heures que Claire nous a quittés, avec la mention d’une « longue maladie »….

    Toutefois, une autre source (qui la connaissait bien) stipule dans un courriel tout récent que nous avons reçu ce soir:

    «  »Pas de bonnes nouvelles de Claire Séverac.
    Nous l’avons eu au téléphone dernièrement, elle allait bien, et voilà que nous apprenons le 22 décembre qu’elle est au plus mal, et qu’elle se retire de toute activité militante, ne voulant plus que l’on parle d’elle. Cette nouvelle nous attriste beaucoup. Son site est fermé, tout comme son compte Facebook, sa page Wikipédia est supprimée…

    Comme ce « mot » est sur un document interne à l’association, nous en faisons état ici, car nous estimons que vous êtes en droit de le savoir. D’autant plus si l’on peut faire quelque chose pour elle…
    Même si cela est compromis par sa situation et sa décision.

    Encore faudrait-il être certain que c’est bien une décision en parfait accord avec son libre arbitre ? Car il est permis d’en douter »

    >> Cette nouvelle inquiétante et terriblement attristante est hélas à inscrire dans le contexte de l’élimination de plusieurs dizaines de chercheurs et médecins holistiques aux USA et ailleurs. Ce décès intervient ne l’oublions pas non plus après ceux également précipités (vu leur jeune âge) de personnes comme Corinne Gouget (additifs alimentaires) et également Bernard Christophe (pharmacien qui gênait aussi terriblement le système avec son Tic-Tox contre la maladie de Lyme et qui était en passe de gagner un procès-clef!)

    Nous terminons cet article par deux considérations importantes: la première, c’est qu’il est devenu indispensable que le public prenne conscience DES RISQUES PRIS PAR LES ACTIVISTES BENEVOLES qui informent gratuitement et sans jamais compter leur temps sur des thèmes aussi dérangeants et tabous. Oui, clairement, ils risquent leur vie et ce n’est pas être « complotiste » que de le rappeler. Il est donc impératif que le public s’informe de plus en plus mais qu’il n’avale pas juste passivement et de façon égoïste une connaissance! Toute personne qui bénéficie d’informations importantes susceptibles de lui épargner sa santé et sa vie a un devoir éthique et citoyen d’en parler le plus largement tout autour d’elle, peu importe le « quand dira-t-on social » qui ne mérite plus la moindre place dans l’état d’urgence sanitaire et politique dans lequel se trouve le monde entier… Parler de ce que vous aurez appris et le faire le plus largement contribuera inévitablement à plus de sécurité et d’efficacité concrète pour tous: plus de victimes potentielles seront susceptibles d’être informées A TEMPS et d’autre part, l’activité et la responsabilité communicationnelle sera mieux répartie sur un plus grand nombre d’émetteurs-transmetteurs des infos.

    La deuxième considération et nous sommes tout à fait convaincus que c’est vraiment ce que Claire Séverac aurait espéré (tout comme Sylvie Simon aussi d’ailleurs), c’est que le combat pour l’information et la liberté DOIT ABSOLUMENT POUVOIR SE POURSUIVRE et cela, au nom des plus faibles et des plus fragiles…. « the show must go on » comme chantait l’autre, sauf qu’il s’agit ici de tout sauf d’un show mais bien d’une véritable tragédie politique et de santé publique. Aussi, le plus bel hommage, mais aussi le plus concret et le plus efficace que nous puissions faire à Claire Séverac et à son magnifique travail, c’est de solliciter les éditeurs pour que ses ouvrages continuent surtout d’être édités, d’ACHETER EN NOMBRE SES OUVRAGES, de continuer à les faire connaître à ceux qui ne la connaissaient pas, ainsi que de continuer à partager PLUS QUE JAMAIS ses interventions en vidéo…. MERCI CLAIRE pour tout ce que tu as fait, nous ne t’oublierons jamais!

    Pour voir l’article source et écouter les vidéos de Claire Severac publiées dans l’article :

    http://initiativecitoyenne.be/2016/12/claire-severac-nous-a-quittes-hommage-a-une-activiste-qui-derangeait-diablement-l-establishment.html


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  • Source: http://www.normandie-actu.fr/epinglee-chambre-regionale-comptes-ville-normandie-pourrait-augmenter-impots-cesser-payer-elus_246868/

     

    La commune de Jumièges (Seine-Maritime) vient d'être épinglée par la chambre régionale des comptes. Les mesures préconisées par l'instance sont drastiques. Précisions.

    Mise à jour : 13/12/2016 à 17:41 par Murielle Bouchard

     

    Le budget de la mairie de Jumièges a fait l'objet d'un rapport de la chambre régionale des comptes publié mardi 13 décembre 2016. ©Mairie de JumiègesLe budget de la mairie de Jumièges a fait l'objet d'un rapport de la chambre régionale des comptes publié mardi 13 décembre 2016. (photo : ©Mairie de Jumièges)

    Mardi 13 décembre 2016, la chambre régionale des comptes de Normandie a rendu publiques ses observations concernant la commune de Jumièges (Seine-Maritime). Un avis budgétaire émis à la suite d’une demande de la préfète de région, préfète de Seine-Maritime, intervenue le 4 novembre 2016 au sujet du compte administratif de la commune pour l’année 2015.

    Une subvention qu’il ne fallait pas compter

    Dans sa sollicitation, la préfète alertait notamment sur des subventions intégrées dans le budget qui n’auraient pas dû l’être.

    Le compte administratif 2015 transmis par la commune de Jumièges présente à la clôture de l’exercice 2015 un déficit de 93 671,23 €, représentant 6,52 % des recettes de fonctionnement. Toutefois, il s’avère que la commune de Jumièges présente des restes à réaliser s’élevant à 1 822 067 € en dépenses et à 1 478 063 € en recettes. Or, ces restes à réaliser ne sont pas sincères, la subvention indiquée par la collectivité au titre du Fonds européen de développement régional (Feder) d’un montant de 200 000 € n’ayant pas fait l’objet d’un arrêté d’attribution.

    La loi permet aux collectivités de moins de 20 000 habitants un déficit de clôture s’élevant à 10% des recettes de fonctionnement. La préfète a fait les comptes et sans cette subvention du Feder, Jumièges (1 715 habitants) arrive alors à un déficit de clôture à hauteur de 44,40% des recettes de fonctionnement.

    Un déficit d’1,4 million d’euros

    Dans ses observations soumises à la chambre régionale des comptes, Pierre Lièvre, conseiller-rapporteur confirme les considérations de la préfète sur le compte administratif 2015 et insiste également sur les conséquences pour le budget 2016.

    Le compte administratif consolidé de 2015 de la commune de Jumièges fait apparaître un déficit de 1 387 675 € qui représente 96,61 % des recettes réelles de fonctionnement. Le budget 2016 du budget principal de la commune de Jumièges n’est pas voté en équilibre réel …

    La conclusion est sans équivoque :  « Il  y a lieu de proposer des mesures nécessaires au rétablissement de l’équilibre budgétaire du budget sur l’exercice 2017 ».

    Augmenter les impôts, stopper les indemnités…

    Pour retrouver l’équilibre, la chambre régionale des comptes indique dans son rapport des exemples de marges de manœuvre qui ne seront peut-être pas au goût de tous les administrés…

    L’instance propose ainsi de « rechercher toute augmentation des recettes de fonctionnement, au besoin par de nouvelles majorations des recettes fiscales et/ou de nouvelles tarifications des prestations et services proposés par la collectivité ».

    Autre possibilité : « Décider d’économies sur les charges à caractère général et de personnel, y compris, s’ils en décident ainsi, par le renoncement des élus à leurs indemnités ». En clair, l’instance recommande, s’il le faut, d’augmenter les impôts ou de cesser de verser aux élus leurs indemnités.

    Céder le patrimoine et limiter les investissements

    Et la situation est telle que la commune devra également songer à céder son patrimoine. « Disposer d’un état précis du patrimoine de la commune, de sorte à pouvoir en optimiser la gestion (location ou, le cas échéant, cession) », peut-on ainsi lire dans le rapport.

    Côté investissement, le rapporteur insiste également sur la nécessité de les limiter « aux strictes capacités financières de la commune. »

    Contacté par Normandie-actu, le maire de Jumièges n’a pas, pour le moment, donné suite à nos sollicitations.

    > LIRE AUSSI : En Seine-Maritime, un conseil municipal dissous pour ne pas avoir augmenté les impôts

    Le contrôle des actes budgétaires par les chambres régionales des comptes
    Le contrôle des actes budgétaires des collectivités locales constitue la troisième mission (après l’examen de la gestion et le jugement des comptes) confiée, par la loi, aux chambres régionales et territoriales des comptes, contribuant ainsi à l’action de conseil et d’expertise exercée par les juridictions financières. Il vise à garantir le respect, par les collectivités, des règles d’élaboration et d’exécution de leurs budgets.
    Il existe différents cas de figure, tous prévus par le Code général des collectivités territoriales (CGCT), dans lesquels le préfet saisit, pour avis, la chambre régionale des comptes de la situation budgétaire d’une collectivité territoriale ou d’un établissement public de coopération intercommunale :
    – Si le budget n’est pas adopté avant le 15 avril de l’année à laquelle il s’applique (art. L1612-2 du CGCT) ou le 30 avril en cas de renouvellement de l’assemblée délibérante ;
    – Si le budget n’est pas voté en équilibre réel (art. L1612-5 du CGCT) ;
    – Si le compte administratif a été rejeté par l’assemblée délibérante (art. L1612-12 du CGCT) ;
    – Si celui-ci fait apparaître dans l’exécution du budget un déficit supérieur à 10% pour les communes de moins de 20 000 habitants ou à 5% dans tous les autres cas (art. L1612-14 du CGCT).
    Dans toutes ces situations, la chambre dispose d’un mois pour rendre un avis formulant, selon le cas, des propositions de règlement du budget ou des mesures de rétablissement de l’équilibre budgétaire.
    La chambre peut également être saisie, soit par le préfet, soit par le comptable public, soit par toute personne y ayant intérêt, en vue de constater, dans le même délai d’un mois, qu’une dépense à caractère obligatoire n’a pas été inscrite au budget de la collectivité ou de l’établissement (art. L1612-15 du CGCT).


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