• Source:http://lesmoutonsenrages.fr/2016/02/27/intermarche-une-idee-de-patriotisme-interdite-par-lunion-europeenne/#more-92473


    Cette histoire, c’est une honte qui nous montre bien que l’Union Européenne est contre toute forme de patriotisme, alors quand il s’agit de soutenir les éleveurs français en acceptant de les payer un peu plus cher, cela fait scandale. L’UE a donc ouvert une enquête sur Intermarché qui a décidé de soutenir la filière française et représenter une entrave à la concurrence étrangère, un avant gout de TAFTA dans toute sa splendeur…

     

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     La Commission européenne a ouvert une enquête sur Intermarché, car elle estime que le choix de l’enseigne d’acheter la viande plus cher aux éleveurs français est une entrave à la concurrence étrangère

    Le groupement de distributeurs indépendants Intermarché (Les Mousquetaires) est sous le coup d’une enquête de la Commission européenne, après s’être accordé l’an dernier avec son concurrent Leclerc pour acheter du porc à un prix plancher, a affirmé vendredi son président Thierry Cotillard.

     

    « Sur le porc, l’été passé, Intermarché s’était accordé avec Leclerc pour acheter le kilo (de porc) 1,40 euro (…). Mais ça n’a pas tenu. Maintenant, Bruxelles nous tombe dessus et enquête », a déclaré le patron d’Intermarché, dans un entretien au quotidien Libération mis en ligne vendredi soir.
    Le libre marché avant tout

    « L’Europe considère que cet accord était discriminant vis-à-vis des pays tiers. Donc maintenant, nous sommes très prudents pour trouver des solutions », poursuit le dirigeant, précisant que son groupe risque une amende potentielle « à hauteur de 5% de notre chiffre d’affaires ».
    L’an dernier, alors que les cours du porc s’étaient effondrés en-dessous du prix de revient des agriculteurs, le gouvernement avait fixé un objectif d’achat de 1,40 euro le kilo lors de négociations avec la filière, et des enseignes comme Leclerc et Intermarché s’étaient engagées à procéder à des achats de cochons à ce niveau.
    Intermarché poursuivra ses engagements
    Le patron d’Intermarché a néanmoins réaffirmé sa volonté de continuer à soutenir les éleveurs, confirmant que son groupement allait lancer un contrat de cinq ans garantissant aux producteurs un prix d’au moins 1,50 euro par kilo, à condition de remplir des critères de qualité.

    Source et suite sur Sud Ouest


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  • source: http://lesmoutonsenrages.fr/2016/02/25/rappel-autour-des-compteurs-linky-vous-pouvez-les-refuser/#more-92408


    Le compteur Linky
     mais pas uniquement lui, continue de faire polémique car non seulement il va permettre de réduire les effectifs sur le terrain qui ne seront plus obligés du coup de contrôler manuellement les-dits compteurs,  mais il y a un impact sur la santé qui est indéniable quoi qu’en disent certains. De ce fait, de petits rappels sont indispensables, et ceux-ci sont possibles grâce au site Refus.linky.gazpar.free.fr qui comme son nom l’indique, s’est spécialisé sur le sujet.

    image: http://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2013/09/linky-1961766-jpg_1746523.jpg

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    Refus individuels ou par les communes, que faire ?

    Si vous êtes un particulier, vous pouvez refuser le remplacement de vos compteurs par des compteurs communicants (cf lettre ou lettre ou lettre). Les pénalités financières exigées par les opérateurs pour dissuader les éventuels résistants n’ont finalement pas été prévues dans la loi, tant mieux.


    Attention cependant : si vos compteurs sont dans les parties communes d’un habitat collectif, ou s’ils sont directement accessibles depuis la rue, ErDF, GrDF et leurs sous-traitants tenteront de changer vos compteurs par surprise.
    Les témoignages se multiplient : les installateurs n’hésitent pas à pénétrer dans les jardins (illégalement !) et à changer les compteurs pendant votre absence. Signifiez toutefois sur votre compteur le refus de son remplacement mais, dans la mesure du possible, soyez vigilants !
    Cependant, vous ne pourrez pas forcément être toujours présent chez vous et de toute façon, même si vous réussissez à sauver vos bons vieux compteurs, il est probable que vous ayez à subir les compteurs installés chez vos voisins, que ces derniers soient favorables à ces engins ou qu’ils n’aient pas pu ou pas su s’opposer à leur installation.
    La stratégie la plus efficace est donc, avant de passer à des refus individuels, de voir s’il n’est pas d’abord possible que votre commune s’oppose aux compteurs communicants. Contactez-vos élus pour les informer et leur demander quelles sont leurs intentions. Demander leur de vous aider à protéger votre santé et celle de vos proches.
    Mobilisez vos voisins et contactez ensemble vos élus pour les amener à prendre position : même ceux qui sont favorables aux compteurs communicants vous écouteront de façon attentive… si vous êtes nombreux !!!
    La santé des enfants de la commune doit passer avant toute autre considération. Indiquez à vos élus que des communes ont déjà pris position, diffusez leur les lettres aux habitants ou délibérations adoptées en leur demandant de les prendre en exemple (cf la délibération-type)…

     

    Source: Refus.linky.gazpar.free.fr

    À lire également:

    A savoir absolument si vous attendez la visite d’ErDF !

    Si vous envisagez de refuser l’arrivée des compteurs communicants, ou si votre commune a déjà pris une délibération en ce sens, les industriels vont très probablement envoyer des experts de la communication, des gens spécialement entrainés pour « coincer » ceux qui osent remettre en cause les décisions des « élites ». Alors, ne vous laissez pas faire !

    1) Organisation et déroulement de la rencontre:
    Prenons le cas d’une délégation envoyée par ErDF pour rencontrer les élus d’une commune qui a voté une délibération contre l’arrivée du compteur Linky. Ne croyez pas une seule seconde à la bonne foi d’agents qui viendraient aimablement présenter leurs arguments et écouter les votres. En effet, vous allez avoir affaire à des gens en mission commandée, dont le seul but va être de « retourner » le Conseil municipal ou, a minima, de le diviser.
    Ces gens sont spécialement entrainés pour prendre le pouvoir dans la discussion. Par exemple, ils vont vouloir commencer par projeter une présentation (powerpoint). Le but réel n’est pas d’avancer des arguments (même si c’est bien sûr le cas au passage) mais de se placer en « professeurs » qui détiennent la vérité, et de ramener les autres participants au rang d’élèves tout juste bons à poser des questions.
    Il faut donc : soit refuser la diffusion d’une présentation (chacun avance ses arguments oralement, tout le monde est à égalité), soit diffuser aussi une présentation contradictoire (par exemple avec les pages du présent site !)
    De même, la réunion doit être menée par un élu (le maire par exemple) chargé de faire en sorte que la parole soit répartie de façon égale (les gens d’ErDF sont entraînés pour confisquer la parole) et de recadrer les interventions agressives.
    En effet, un membre de la délégation d’ErDF (dit l’ « aboyeur ») est chargé d’entrer en confrontation avec la ou les personnes les plus opposées aux compteurs (appellées les « personnes à risques »), afin de tenter de les disqualifier vis à vis de l’ensemble des gens présents.
    L’ « aboyeur » se disqualifie certes simultanément mais peu lui importe, sa mission est atteinte si les opposants les plus en pointes passent pour des extrémistes, des excités, etc. Le chef de la délégation d’ErDF reprend ensuite la parole en se plaçant « au dessus des polémiques », etc…

    2) Stratégie argumentaire lors de la rencontre
    La stratégie des communicants d’ErDF, outre la tentative de prise de pouvoir, repose principalement sur un habile retournement des positions : alors que ce sont eux (ErDF, GrDF, etc) qui veulent bouleverser la situation existante, c’est à dire remplacer nos excellents compteurs actuels par de problématiques compteurs communicants, ils s’arrangent pour vous mettre en porte-à-faux.
    Ils vous « obligent » à vous justifier, à « prouver » que les compteurs communicants sont dangereux pour la santé ou pour les libertés, etc.

    Vous devez absolument remettre les choses à l’endroit :
    Ce sont eux (ErDF, GrDF, etc) qui viennent chez nous pour tenter de nous mettre leurs compteurs communicants, c’est donc bien à eux de se justifier (s’ils le peuvent !) et pas à nous !
    – c’est à eux de tenter de « justifier » le fait de jeter 80 millions de compteurs (35 millions pour l’électricité, 35 pour l’eau, 11 pour le gaz) en parfait état de marche. Or c’est injustifiable…
    – c’est à eux de « prouver » de façon irréfutable la prétendue innocuité des compteurs communicants pour la santé, de « prouver » que leurs données « ne seront pas piratées », de « certifier » que ces données ne seront « jamais utilisées à des fins commerciales ou policières », etc… Or personne ne peut assurer que ce ne sera pas le cas…
    – c’est à eux de nous expliquer pourquoi nous devrions accepter de servir de cobayes pour voir si nous et nos enfants aurons des cancers dans 5 ou 8 ou 12 ans : l’OMS a classé « cancérigènes possibles » les ondes électromagnétiques, le doute est suffisant pour ne pas se laisser faire. Ils n’ont qu’à faire les expériences sur leurs propres familles et on en reparle dans 15 ans !

    Notons que ce sont parfois des élus qui, sollicités par des administrés qui leur demandent de prendre position, demandent à ces derniers qu’ils prouvent la dangerosité des compteurs communicants.
    Non seulement il faut leur expliquer comme ci-dessus que c’est l’inverse qui doit être fait (c’est aux industriels de « prouver » que les compteurs ne sont pas dangereux), mais il faut aussi rappeler que ce sont les élus, à commencer par les maires (*), qui seront attaqués en justice en cas de problèmes (personnes devenant électro-sensibles, incendies causés par les compteurs communicants, etc).

    Important : dans tous les cas, exigez de l’opérateur (généralement ErDF pour l’électricité et GrDF pour le gaz, diverses sociétés pour l’eau : Véolia, Sogedo, etc) une attestation d’assurance par rapport aux risques causés par les ondes électromagnétiques. Ces opérateurs prétendent qu’il n’y a aucun danger, mais alors pourquoi les assureurs refusent-ils de couvrir ce risque ?
    Et avant toute discussion, potassez ce document !

    (*) Le maire pourra être poursuivi pour avoir laissé ErDF remplacer les compteurs électriques car ces derniers appartiennent aux collectivités, ou pour avoir laissé GrDF ou autres opérateurs (compteurs d’eau en particulier) installer des antennes dans la commune pour collecter les informations des compteurs.
    Source: Refus.linky.gazpar.free.fr


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  • Ajoutée le 15 janv. 2015

     


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  • source: http://news.radins.com/actualites/assurance-chomage-les-solutions-radicales-grandes-entreprises,18862.html?utm_source=newsletter_jt_17h&utm_medium=email&utm_campaign=17-02-16

    Par Marine Lepante le 17 févr. 2016 | 1 169 Vues

    L'Association française des entreprises privées (Afep) a dévoilé ses préconisations pour réformer les règles de l'Unédic. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les solutions proposées sont radicales.

    Une dégressivité des allocations

    Avec un déficit de près de 4,5 milliards d'euros et une dette de 30 milliards, l'Unédic, qui assure le paiement des allocations chômage, se trouve dans une situation plus que critique. Pour combler ce trou abyssal, l'Association française des entreprises privées, qui regroupe les plus importants groupes, a mis sur la table plusieurs propositions choc, selon le quotidien Les Échos.

    « Il faut redresser l'Unédic en instaurant une dynamique incitant au retour à l'emploi », a déclaré Pierre Pringuet, le président de l'Afep. À ceux qui demandent une hausse des cotisations, « déjà les plus élevées d'Europe », l'association répond qu'il faut, au contraire, instaurer pour les nouveaux chômeurs, une « dégressivité forte » des allocations, avec « un nombre limité de marches mais de taille importante ».

    Une dégressivité qui pourrait générer 2 milliards d'euros d'économies.

    Inciter le retour à l'emploi

    L'Afep préconise, par ailleurs, un renforcement des contrôles. Actuellement, seuls 200 agents surveillent plus de 2,5 millions d'allocataires.

    Autre proposition : reculer le seuil à partir duquel les séniors peuvent bénéficier de trente-six mois d'indemnisation, au lieu de vingt-quatre mois pour les autres. Aujourd'hui, il faut avoir 50 ans pour bénéficier de ce dispositif, qui « n'encourage pas à la reprise d'activité ». En reculant ce seuil à 55 ans, l'association pense pouvoir faire économiser à l'Unédic 450 millions d'euros.

    Parmi les autres pistes, l'Afep suggère qu'un jour cotisé donne droit à 0,9 jour indemnisé contre 1 pour 1 actuellement. Elle propose aussi de ramener de quatre à six mois la durée minimale d'affiliation à l'Unédic, pour bénéficier du droit aux allocations chômage.

    Les syndicats accepteront-ils ces propositions ? Rien n'est moins sûr...


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  • source: http://www.20minutes.fr/economie/1784053-20160210-fed-janet-yellen-attentive-a-evolution-economies-a-etranger

    La présidente de la Banque centrale américaine (Fed) Janet Yellen a répété mercredi qu'elle s'attendait à une hausse graduelle des taux d'intérêt aux Etats-Unis mais s'est montrée inquiète de l'impact du ralentissement de l'économie mondiale.

    La présidente de la Banque centrale américaine (Fed) Janet Yellen à Washington, le 10 février 2016La présidente de la Banque centrale américaine (Fed) Janet Yellen à Washington, le 10 février 2016 - NICHOLAS KAMM AFP

    © 2016 AFP

    La présidente de la Banque centrale américaine (Fed) Janet Yellen a répété mercredi qu'elle s'attendait à une hausse graduelle des taux d'intérêt aux Etats-Unis mais s'est montrée inquiète de l'impact du ralentissement de l'économie mondiale.

    Les développements économiques à l'étranger «comportent des risques pour la croissance américaine», a estimé Mme Yellen dans un discours devant la Commission financière de la Chambre des représentants.

    Mme Yellen a notamment signalé «les incertitudes sur la politique de change» en Chine qui accroissent «la volatilité sur les marchés financiers».

    La patronne de la banque centrale juge aussi que si elles continuaient, les conditions financières moins favorables aux Etats-Unis -- que ce soient le déclin des actions en bourse ou une nouvelle appréciation du dollar -- , peuvent «peser sur l'activité et le marché du travail».

    «Le Comité monétaire surveille de près les développements économiques et financiers dans le monde», a-t-elle dit, répétant le leitmotiv du dernier communiqué du Comité monétaire de la Fed (FOMC) fin janvier qui avait laissé les taux d'intérêt inchangés.

    La Fed les avait modestement augmentés en décembre après sept ans de politique à taux zéro pour soutenir la reprise. Ils se situent actuellement entre 0,25% et 0,50%.

    Mme Yellen se garde de fermer explicitement la porte à une nouvelle hausse à la réunion monétaire des 15 et 16 mars: «le Comité prévoit que les conditions économiques vont évoluer de telle façon que seulement une hausse graduelle des taux sera requise», redit-elle.

    Interrogée sur la possibilité de taux négatifs, Mme Yellen a déclaré: «Même s'il y existe toujours un risque de récession (...) je ne pense pas qu'il sera nécessaire de baisser les taux», soit à nouveau proche de zéro, soit en territoire négatif. Elle a par ailleurs reconnu que la divergence de la politique monétaire avec la zone euro notamment mettait une pression à la hausse sur le dollar.

    Mme Yellen a assuré que l'inflation, maintenue basse plus longtemps à cause des prix de l'énergie, allait remonter autour de 2% sur un an à moyen terme et noté les progrès «notables» du marché de l'emploi. Le taux de chômage est tombé à 4,9% en janvier. Point positif, la baisse des prix pétroliers équivaut à 1.000 dollars d'économies par an pour les Américains, a-t-elle indiqué.

    Elle a suggéré lors de la séance des questions que la faible hausse des salaires était un des facteurs expliquant le médiocre taux de participation au marché du travail aux Etats-Unis. Prise à partie sur le manque de diversité à la banque centrale et sur la disparité du taux de chômage touchant la communauté noire, Mme Yellen a reconnu qu'il était «hautement désirable» d'avoir pour la première fois à la tête d'une banque régionale de la Fed, un président noir.

    L'expansion économique américaine devrait «poursuivre une croissance modérée», a-t-elle par ailleurs assuré tandis que «la croissance économique mondiale devrait remonter avec le temps», soutenue par les politiques monétaires ultra-accommodantes.

    -Nombreuses sources d'inquiétude-

    Mais les sources d'inquiétudes sont nombreuses qui font penser que la Réserve fédérale pourrait être plus lente à remonter les taux d'intérêt.

    Au début de l'année, les membres de la Fed pensaient pouvoir resserrer le crédit par quatre fois cette année pour porter les taux directeurs progressivement à 1,4%. Ce scénario paraît moins probable à la vue du ralentissement international et des turbulences sur les marchés financiers.

    Sur la Chine, Mme Yellen a jugé que «même si les récents indicateurs économiques ne suggèrent pas un vif ralentissement de la croissance chinoise, le repli de la valeur du renminbi (ndlr: autre nom du yuan) a intensifié les incertitudes sur la politique de change en Chine et les perspectives de son économie».

    Elle déplore que ces incertitudes aient «accru la volatilité sur les marchés internationaux et (...) exacerbé les inquiétudes sur la perspective de la croissance mondiale».

    «Si ces risques à la baisse devaient se matérialiser, l'activité à l'étranger et la demande pour les exportations américaines pourraient s'affaiblir tandis que les conditions sur les marchés financiers pourraient se durcir encore plus», affirme Mme Yellen.

    Evoquant le volumineux bilan de la Fed après les achats massifs de bons du Trésor pour soutenir l'économie, la dirigeante a laissé entendre qu'il n'était pas encore temps de céder ces actifs. «Ce serait déstabilisant pour l'économie», a-t-elle affirmé, plaidant pour attendre que les taux d'intérêt «soient plus hauts». Elle a souligné en revanche que, notamment grâce au rendement de ces actifs, la Fed avait reversé au gouvernement et donc «aux contribuables» environ 615 milliards de dollars depuis 2008.

     


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