• Source: http://news.radins.com/actualites/le-compteur-linky-une-arnaque-le-portefeuille,15711.html?utm_source=newsletter_jt_17h&utm_medium=email&utm_campaign=28-03-16

    Mauvaise publicité pour le nouveau compteur électrique à la mode. Il ferait grimper la facture d'électricité, selon l'UFC-Que Choisir.

    Le nouveau compteur électrique dans la ligne de mire de l'UFC-Que Choisir

    Distribué depuis le 1er décembre par une filiale d'EDF, et déjà dans la ligne de mire des associations de consommateurs.
    Le compteur Linky, un « compteur communicant » considéré comme une machine pouvant simplifier la vie des consommateurs, a fait l'objet d'une étude de l'association UFC-Que Choisir.

    Cette dernière affirme qu'il présenterait un risque de surcoût, pour les abonnés ayant décidé de troquer leur vieux compteur contre cet appareil au design pour le moins attirant, mais qui alourdirait finalement la facture d'électricité à la fin du mois.

    Une consommation électrique calculée en temps réel

    Linky propose, à la différence des anciens systèmes, de mesurer en temps réel la consommation d'électricité d'un foyer.
    Il transmet, chaque jour, un relevé de compteur au fournisseur d'énergie, ce qui promettait, sur le papier, des économies substantielles. Un système qui n'est pas encore au point, selon l'UFC-Que Choisir.

    L'association de consommateurs ne semble donc pas emballé par ce nouveau compteur, qui, selon elle, n'apporte rien de plus aux abonnés énergétiques.
    D'ici fin 2021, ERDF, qui n'est pas avare de communication au sujet de Linky, aura pourtant remplacé les 35 millions de compteurs actuels par Linky.

     


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  • eco2013:  Pour comprendre....

    http://eco2013.eklablog.com/matthieu-pigasse-dg-de-la-banque-lazard-france-a125373400

    Source: http://www.20minutes.fr/economie/1804837-20160311-vice-media-soutenu-matthieu-pigasse-lance-chaine-France

    © 2016 AFP

     

    Matthieu Pigasse, vice-président de la banque Lazard (d) et Shane Smith, PDG de Vice, à Paris le 10 mars 2016

     

    Le groupe américain Vice Media va lancer une chaîne de télé en France, avec le soutien du banquier Matthieu Pigasse, qui a acquis une part minoritaire de Vice France, ont annoncé à l'AFP le PDG de Vice, Shane Smith, et Matthieu Pigasse.

    Matthieu Pigasse, vice-président de Lazard en Europe, qui via sa holding Les nouvelles éditions indépendantes (LNEI) détient déjà le magazine Les Inrockuptibles et Radio Nova, ainsi que le tiers du groupe Le Monde, veut multiplier les synergies entre Vice, Les Inrocks et Radio Nova qui ont, selon lui, «le même ADN».

    «Par nos méthodes de travail, par notre identité, nous sommes les mieux placés pour toucher un public jeune», estime Matthieu Pigasse, qui dit avoir sympathisé avec Shane Smith à Brooklyn, où ils sont voisins.

    Né au Canada comme un magazine alternatif, Vice est devenu un géant de l'audiovisuel, soutenu notamment par Disney, qui y a investi 200 millions de dollars, ainsi que le groupe Hearst.

    En France, Vice veut développer sa production multimédia et lancer sa propre chaîne, avec une moitié de contenus français et une moitié de contenus internationaux. La date de lancement n'est pas encore connue.

    Vice compte aussi lancer prochainement une dizaine de chaînes dans d'autres pays d'Europe, à commencer par la Grande-Bretagne. Le groupe vise aussi l'Allemagne et l'Italie.

    «Nous voulons développer nos capacités de production en France. Pas seulement pour produire des contenus pour le public français, mais aussi pour les amener au monde», a expliqué Shane Smith, fondateur de Vice Media, qui vient de lancer fin février une chaîne câblée aux Etats-Unis, Viceland.

    Lancé en 2007, Vice France produit déjà un JT quotidien et des reportages pour France 4, et collabore avec Courrier International (groupe Le Monde).

    «Nous voyons Vice comme une référence depuis des années. Nous avons beaucoup à apprendre d'eux: comment cibler les jeunes publics, utiliser toutes les plateformes... Ce sera un plus pour Les Inrocks et Nova», a expliqué Matthieu Pigasse.

    Vice et ces deux autres médias comptent cependant fonctionner de manière indépendante et «garderont leur identité», selon M. Pigasse.

    «Nous voulons être un laboratoire: notre média est en croissance mais si nous réussissons à être forts sur le mobile, le web et la télévision, avec des nouvelles pratiques de monétisation, on gagnera la course» a expliqué Shane Smith, dont le groupe est valorisé par la presse économique à plus de 4 milliards de dollars.

    Vice France sera également un relai pour le développement du groupe en Afrique francophone, où l'on trouve «un public 100% mobile, et un marché qui évolue plus vite que tous les autres», a expliqué Shane Smith.

    Matthieu Pigasse, également au capital du groupe Melty, réalise cet investissement en dehors de son fonds Media One, créé avec le patron de Free, Xavier Niel, et le producteur télé Pierre-Antoine Capton.

    En cours de constitution, ce fonds de 300 à 500 millions d'euros devrait être introduit à la Bourse de Paris dans les deux prochains mois, selon une source proche du dossier.

     


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  • eco2013: sans commentaire... c'était prévisible comme le nez au milieu de la figure....

    source: http://www.20minutes.fr/economie/1804061-20160310-automobile-volkswagen-veut-supprimer-3000-postes-allemagne

    Le constructeur automobile allemand Volkswagen entend supprimer ...

    Le constructeur automobile allemand Volkswagen entend supprimer 3.000 postes au sein de ses services administratifs en Allemagne dans le cadre de la chasse aux coûts engagée après l'éclatement du scandale des moteurs truqués, rapporte jeudi l'agence DPA.

    La marque Volkswagen compte supprimer un emploi sur dix dans ses bureaux en Allemagne, soit 3.000 personnes, d'ici fin 2017, écrit l'agence allemande en citant des sources au sein de l'entreprise.

    En vertu de la garantie de l'emploi en vigueur, aucun licenciement n'est prévu, précise DPA. La suppression de postes, qui ne concerne pas les services de production, s'effectuera notamment à travers des cessations progressives d'activité ou des mesures de formation.

    «La marque Volkswagen a mis en place un programme d'efficience qui concerne tous les domaines, et donc également les coûts de personnel», a rappelé un porte-parole du groupe, interrogé par l'AFP, en évoquant notamment la diminution du recours aux intérimaires et la limitation des embauches, mais sans confirmer les informations de DPA.

    Le constructeur automobile a reconnu en septembre avoir installé des logiciels truqueurs dans 11 millions de voitures dans le monde, un scandale qui le place désormais sous la menace d'amendes et d'indemnisations pouvant atteindre des dizaines de milliards d'euros.

    Le groupe aux douze marques dont Volkswagen avait annoncé dans la foulée une baisse de ses investissements et un passage en revue de ses activités afin d'«énormément économiser», selon les mots de son nouveau patron Matthias Müller.

     


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  • Source: http://www.20minutes.fr/economie/1799051-20160303-compteurs-linky-gazpar-communes-rebelles-elles-victimes-intimidation

    Compteurs Linky et Gazpar: Les communes rebelles sont-elles victimes d'intimidation?

    ENQUETE Information ou pression ? Certains élus s’inquiètent des courriers et courriels reçus les invitant à ne pas interdire l’installation des compteurs dits « intelligents »…

    *Céline Boff

     

    Installation à Toulouse des premiers compteurs Linky par Erdf.Installation à Toulouse des premiers compteurs Linky par Erdf. - ErDF

    Saint-Macaire (Gironde) a été la première commune de France à refuser d’accueillir sur son territoire Linky et Gazpar, les nouveaux compteurs d’électricité et de gaz. Pour une raison simple : cette nouvelle génération de boîtiers, dits « intelligents »,pourrait nuire à la santé des habitants.

    20 Minutes l’annonçait début décembre. Depuis, Saint-Macaire (Gironde) a fait des émules :  27 communes ont pris des mesures, dont 23 des délibérations visant à interdire l’installation des nouveaux boîtiers. C’est le cas de Loubaut (Ariège), de Calès (Dordogne) ou encore de Larnod (Doubs).

    « Notre but n’est pas de mettre la pression »

    En début de semaine, ces villes ont, comme toutes les communes françaises, reçu un courrier signé de la main de Philippe Monloubou, patron d’ErdF, expliquant vouloir répondre « aux difficultés que certains [maires] ont porté à [sa] connaissance concernant le déploiement des compteurs Linky ». Le même jour, elles ont aussi réceptionné un courriel de Maire-Info, le quotidien de l’Association des maires de France (AMF), les alertant sur le risque juridique à prendre des délibérations anti-compteurs nouvelle génération.

    La lettre rédigée par Philippe Monloubou, président du directoire d’ErdFLa lettre rédigée par Philippe Monloubou, président du directoire d’ErdF - D.R.

    Pour Stéphane Lhomme, conseiller municipal de Saint-Macaire, il s’agit là d’une « opération simultanée de pression sur les élus locaux afin de les intimider et de les dissuader de rejoindre le front du refus ». « Pas du tout ! », rétorque-t-on à l’AMF. « L’article détaille seulement les résultats d’une analyse juridique commandée par laFédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) et réalisée par un cabinet d’avocats indépendant. »

    « Notre but n’est pas de mettre la pression, mais de dire aux élus quel est l’état du droit », renchérit-on à la FNCCR. « Nous leur expliquons seulement qu’ils prennent plus de risque à prendre un arrêté anti-compteurs qu’à ne rien faire. » Quel risque précisément ? L’analyse juridique s’étend peu sur la question, précisant seulement que la délibération pourrait « être annulée dans le cadre d’un recours pour excès de pouvoir » et que la mairie « pourrait être condamnée à dédommager ERDF devant le juge du plein contentieux ».

    Le principe de précaution ne peut être invoqué

    Mais quid des risques éventuels pour la santé humaine ? « Ce n’est pas notre rôle de nous prononcer sur ce sujet », poursuit la FNCCR qui assure, comme l’AMF, « travailler avec ERDF afin de mettre en place une communication informative sur les compteurs Linky. La décision d’installer ces compteurs a été prise sous le mandat de Sarkozy, elle a été confirmée sous celui de Hollande, donc elle s’impose ».

    C’est ce que dit l’analyse juridique commandée par la FNCCR. Elle explique que « le principe de précaution » ne peut être invoqué par le maire, puisque les risques ne portent pas sur une possible dégradation de l’environnement, mais sont « purement sanitaires ».

    Elle rappelle ensuite que « les rayonnements électromagnétiques émis par [le système Linky] n’excèdent pas » les seuils légaux. Et ajoute qu’une « expertise menée par le Centre de recherche et d’informations indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques [Criirem] a confirmé qu’il n’y a pas de risque sanitaire aigu », comme l’avait dit le gouvernement en 2014.

    « Se tenir à moins de deux mètres d’un compteur »

    Mais cette analyse ne dit pas un mot de la déclaration de Pierre Le Ruz, le président du Criirem. En juin 2015, il affirmait que le gouvernement avait fait « une présentation très malhonnête de [son] expertise ». Il confirmait le risque sanitaire – cancers, électrosensibilité – à long terme, expliquant qu’il « faut se tenir à moins de deux mètres d’un compteur pour éviter les ondes dangereuses », une règle particulièrement difficile à observer en habitat collectif.

    L’analyse juridique n’évoque pas non plus l’étude de Lerch 2015, qui « confirme le rôle des radiofréquences dans la promotion de tumeurs chez la souris » et ce, même quand les rongeurs sont soumis « à des niveaux inférieurs aux normes d’exposition du public en vigueur », explique l’association Priartem.

    >> A lire aussi : Le nouveau compteur électrique Linky menace-t-il votre santé, votre liberté et votre sécurité?

    En revanche, l’analyse juridique précise que « l’état des connaissances scientifiques étant par nature évolutif, les autorités publiques doivent veiller à mettre en œuvre des procédures d’évaluation du risque, même en aval de toute prise de décision ».

    C’est précisément ce que demande le Criirem. La semaine dernière, il a rédigé une lettre ouverte, notamment adressée à la ministre Ségolène Royal, réclamant « la mise en place d’une réunion » pour « définir un protocole et une campagne de mesures » des ondes émises par Linky.

    De son côté, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) prépare deux rapports dont la publication est prévue dans l’année. Le premier portera sur les risques spécifiques de l’exposition des enfants aux radiofréquences, le second fera un état des lieux des connaissances liées à l’électrosensibilité, une pathologie liée à l’exposition aux champs électromagnétiques et en constante progression.

     


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  • Source: http://lesmoutonsenrages.fr/2016/02/29/achats-en-ligne-la-banque-postale-parie-sur-la-reconnaissance-vocale/#more-92517


    Mais voilà qui est fantastique!!! Maintenant, les banques pourront en plus avoir votre empreinte vocale, tout cela dans un souci de sécurité bien sûr… Et cela fonctionne en cas d’extinction de voix, en cas de rhume, et même s’il y a du bruit, complètement dingue!!! De plus en plus de moyens sont mis en place pour favoriser le paiement électronique, une solution pratiquement magique pour la finance puisque cela évite de voir l’argent sorti des banques, tout reste à disponibilité pour les banques elles-même si elles doivent se servir à leur tour…

     

    image: http://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2016/02/voiturelaposteretournee.jpg

    voiture+laposte+retournee

     

    La Cnil a donné l’autorisation à la Banque Postale d’utiliser la biométrie vocale pour ses paiements en ligne. C’est une première en France.
    La Banque Postale se lance dans la biométrie vocale, révèle ce lundi en exclusivité France Info. La banque vient d’obtenir l’autorisation de la Cnil (Commission nationale de l’informatique et des libertés) d’utiliser cette technologie de reconnaissance vocale pour sécuriser les paiements en ligne de ses clients. C’est une première en France.

     

    Une courte phrase enregistrée identifie le client 

    Pour effectuer un paiement sur Internet, le client recevra un appel de la banque pour s’identifier. Il lui suffira alors de prononcer quelques mots pour vérifier son identité. Ensuite il pourra payer. Pour utiliser ce système, les clients devront donc communiquer à la Banque Postale un numéro de téléphone et enregistrer une phrase type qui servira à leur identification vocale.

    Source et suite sur Franceinfo.fr

     


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