• Ajoutée le 27 mai 2016

    Interview depuis le premier port pétrolier de France, aujourd’hui à l’arrêt

    Patrick Colibert, dit « Coco », est délégué du personnel à la CIM (Compagnie Industrielle Maritime), le port pétrolier du Havre, après avoir été plusieurs années délégué syndical CGT. Interviewé à l’issue de l’AG interprofessionnelle qui s’est réunie après la manifestation du 26 mai, il fait le point sur la grève en cours à la CIM.


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  • Ajoutée le 25 mai 2016

    Manuel Valls était très attendu ce mercredi pour les questions au gouvernement qu'il avait séchées la veille pour cause de déplacement au Proche-Orient. Le Premier ministre a voulu expliquer pourquoi il fallait lever les blocages des sites pétroliers, dépôts et ports mais sa langue a fourché. "Nous considérons que les Français doivent pouvoir s'apprivoiser", a-t-il lancé avant de se reprendre immédiatement et dire: "s'approvisionner"; ce qui a fait ricaner quelques députés attentifs.


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  • Par  le 07 avril 2016 | 747 Vues

    La Sécurité Routière reste un des chevaux de bataille du gouvernement, alors que le nombre de morts sur les routes en France est reparti à la hausse en 2015 et que la France est l'un des mauvais élèves de l'Europe. Le journal Le Parisien dévoile donc la prochaine étape de la lutte contre la vitesse excessive des Français : la privatisation des radars embarqués. Une annonce qui n'a pas manqué de faire polémique.

    Le gouvernement pense à privatiser les radars embarqués pour augmenter le nombre d'amendes - (c) Shutterstock

    2017 : les radars gérés par une société privée ?

    Actuellement en France, 319 voitures de police sont équipées de radars embarqués et elles ne roulent qu'une heure par jour. Insuffisant, pour le gouvernement, pour réduire le nombre de morts sur la route. Mais augmenter le temps de circulation de ces véhicules reviendrait à utiliser des effectifs de police et gendarmerie qui pourraient être affectés ailleurs.

    Selon Le Parisien, le gouvernement a trouvé une solution : privatiser les radars embarqués. En l'occurrence, il s'agirait d'autoriser une société privée à faire rouler des voitures banalisées embarquant un radar mobile et de lui permettre de donner des amendes. Une phase de test est prévue en 2016, pour une mise en place après appel d'offre en 2017.

    Plus d'amendes... et une polémique

    Pour les automobilistes, rien ne va changer : s'ils font des excès de vitesse, ils seront verbalisés. Toutefois, il y a de fortes chances qu'ils soient plus verbalisés qu'avant, car les voitures ainsi déployées rouleraient plus longtemps et plus souvent. Le nombre de PV risque d'exploser, ce que les caisses de l'État apprécieront.

    Mais pour les associations de défense des automobilistes, cette réforme est dangereuse. Interrogé par Le Parisien, Pierre Chasseray, président de 40 millions d'automobiliste, estime que « Les radars ne peuvent pas être gérés par des sociétés privées dont l'objectif est la réalisation de bénéfices et qui flasheront à tout-va ». L'association a même lancé une pétition en ligne contre la réforme.


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  • Source: http://www.20minutes.fr/economie/1821073-20160406-espagne-banco-santander-veut-supprimer-jusqu-a-1200-postes

    © 2016 AFP

    Banco Santander a annoncé un plan de départs susceptible de concerner jusqu'à 1.200 personnesBanco Santander a annoncé un plan de départs susceptible de concerner jusqu'à 1.200 personnes - DOMINIQUE FAGET AFP

    La banque espagnole Banco Santander a annoncé mercredi aux représentants ...

    La banque espagnole Banco Santander a annoncé mercredi aux représentants du personnel son intention de mettre en oeuvre un plan de départs susceptible de concerner jusqu'à 1.200 personnes courant 2016, a-t-on appris auprès de syndicats et d'autres sources proches des négociations.

    La banque qui emploie 25.000 personnes en Espagne prévoit de fermer 450 de ses agences à travers le pays en 2016.

    Selon le syndicat UGT, la direction propose que le processus de restructuration qui affectera 1.200 employés se fasse, par des retraites anticipées - pour moitié - et par des départs volontaires.

    La proposition de la direction inclut également un plan de mobilité des salariés et des mutations forcées avec compensation de 20.000 euros, indique le syndicat UGT dans un communiqué.

    Le syndicat «n'accepte pas cette proposition» et rejette «toute mesure traumatique pour les effectifs».

    Le plan de restructuration de la banque, première capitalisation d'Europe, devrait surtout concerner les employés du réseau de succursales de la banque, selon UGT, qui évoque 950 suppressions de postes dans les agences.

    L'intention de la banque de fermer 450 de ses agences en Espagne - soit 13% de son réseau - de réorganiser ses services centraux et de rénover 350 de ses succursales devant la montée des opérations en ligne, avait été rendue publique début avril par des sources proches des négociations


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  • Source: http://news.radins.com/actualites/lectricite-pourquoi-certaines-communes-refusent-compteur-linky,20767.html?utm_source=newsletter_jt_17h&utm_medium=email&utm_campaign=29-03-16

    Par Paolo Garoscio le 29 mars 2016 | 2 481 Vues

    Le débat s'enflamme en France autour du compteur connecté Linky, qu'ERDF va déployer à partir de cette année 2016. Un déploiement dont le coût est estimé à 5 milliards d'euros et que les Français ne peuvent théoriquement pas refuser. Théoriquement... Car nombreux sont ceux qui s'y refusent : des associations et des pétitions sont créées, tandis que les rondes sont organisées. Mais pourquoi une telle mobilisation ?

    Le compteur Linky est vivement critiqué pour les risques concernant la santé et la vie privée - (c) Shutterstock

    Linky : le compteur censé permettre de faire des économies, mais...

    L'argument principal de Linky et d'ERDF est le suivant : Linky va permettre de faire des économies d'énergie. Connecté en permanence avec le distributeur d'électricité, il permet en effet d'analyser la consommation du ménage et de proposer des solutions pour baisser la consommation, voire même de gérer à distance l'approvisionnement d'électricité en cas, par exemple, de pic de consommation.

    Au programme, donc : économies d'énergie sur le long terme et facturation réelle pour le client. Finie la facturation sur des chiffres de consommation estimés, qui sont souvent faux et qui donnent lieu à des factures annuelles parfois surprenantes.Mieux : en cas de pic de consommation dans un ménage, l'anomalie sera détectée.

    ... des risques pour la santé et la vie privée

    Si l'argument économique est de taille, les anti-Linky ont également leur propre argumentaire. D'une part, Linky est soupçonné être mauvais pour la santé à cause de la connexion continue et des ondes électromagnétiques qu'il émet, d'autre part, il collecte une myriade d'informations sur la vie privée des ménages, comme leurs habitudes et leur consommation d'énergie en fonction des pièces de l'habitation.

    Autant d'inquiétudes qui ont amené plusieurs Maires et citoyens à agir : les communes étant propriétaires des compteurs, ils peuvent mener des actions contre ERDF et son plan de déploiement. Ainsi, environ 50 communes ont déjà refusé l'installation du compteur et des rondes destinées à empêcher les installateurs de venir sont organisées dans le 15ème arrondissement de Marseille.

    ERDF, qui a déjà installé 600 000 compteurs sur les quelques 35 millions prévus, se veut rassurante : Linky ne présente aucun danger pour la vie privée ou la santé. Mais les anti-Linky n'en croient rien.


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