• À travers les âges, avec leurs manigances, les hommes rusés ont fait de l'argent un outil pour parvenir à leurs vils objectifs. Avec l'apparition de l'entreprise privée, l'argent utilisé comme moyen de repousser les limites du troc a permis au tricheur d'exploiter l'honnête homme qui, pour se protéger, a fait appel à la protection du gouvernement, mais a vite découvert qu'il faisait face à deux voleurs : le courtier et le pilleur politique qui travaillaient main dans la main contre lui. Avec cette combine, le courtier a acquis le prestige de l'approbation politique accordée en vertu de la loi et l'État a obtenu un moyen douteux d'imposer des impôts aux citoyens (par le biais d'un impôt caché appelé l'inflation). C'est une alliance vicieuse, qui reste vicieuse. »
    E.C. Reigel (1879-1953) - Théoricien monétaire et défenseur des consommateurs


    youtube: Mise en ligne le  7 avril 2011

     

    1. Préambule
    2. Dépot Bancaire (3mn.)
    3. Prêt bancaire (6mn50)
    4. Anatomie d'un prêt (11mn25s)
    5. Acceptation de la fraude (14mn30)
    6. Règles de comptabilité (20mn50)
    7. Examinons qui reçoit quoi ? (24mn30)
    8. Expension - Récession (37mn)
    9. Recyclage de l'intérêt (49mn)
    10. Cycle des prêts & Cycle économique (54mn)
    11. Comment tout cela est devenu légal ? (1h)
    12. Cinq actions frauduleuses (1h10mn5s)

     


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  • "Toute vérité passe par trois stades :
    En premier lieu on la ridiculise;
    en deuxième lieu on s'y oppose violemment;
    enfin on l'accepte comme si elle allait de soi."
    Schopenhauer

    De la servitude moderne est un livre et un film documentaire de 52 minutes produits de manière totalement indépendante ; le livre (et le DVD qu'il contient) est distribué gratuitement dans certains lieux alternatifs en France et en Amérique latine.

    Le texte a été écrit en Jamaïque en octobre 2007 et le documentaire a été achevé en Colombie en mai 2009. Il existe en version française, anglaise et espagnole. Le film est élaboré à partir d'images détournées, essentiellement issues de films de fiction et de documentaires.

    L'objectif central de ce film est de mettre à jour la condition de l'esclave moderne dans le cadre du système totalitaire marchand et de rendre visible les formes de mystification qui occultent cette condition servile. Il a été fait dans le seul but d'attaquer frontalement l'organisation dominante du monde. 

    Dans l'immense champ de bataille de la guerre civile mondiale, le langage constitue une arme de choix. Il s'agit d'appeler effectivement les choses par leur nom et de faire découvrir l'essence cachée de ces réalités par la manière dont on les nomme. La démocratie libérale est un mythe en cela que l'organisation dominante du monde n'a rien de démocratique ni même rien de libérale. Il est donc urgent de substituer au mythe de la démocratie libérale sa réalité concrète de système totalitaire marchand et de répandre cette nouvelle expression comme une trainée de poudre prête à incendier les esprits en révélant la nature profonde de la domination présente.

    D'aucuns espéreront trouver ici des solutions ou des réponses toutes faites, genre petit manuel de « Comment faire la révolution ? ». Tel n'est pas le propos de ce film. Il s'agit ici de faire la critique exacte de la société qu'il nous faut combattre. Ce film est avant tout un outil militant qui a pour vocation de faire s'interroger le plus grand nombre et de répandre la critique partout où elle n'a pas accès. Les solutions, les éléments de programme, c'est ensemble qu'il faut les construire. Et c'est avant tout dans la pratique qu'elles éclatent au grand jour. Nous n'avons pas besoin d'un gourou qui vienne nous expliquer comment nous devons agir. La liberté d'action doit être notre caractéristique principale.

    Ceux qui veulent rester des esclaves attendent l'homme providentiel ou l'œuvre qu'il suffirait de suivre à la lettre pour être plus libre. On en a trop vu de ces œuvres ou de ces hommes dans toute l'histoire du XXº siècle qui se sont proposés de constituer l'avant-garde révolutionnaire et de conduire le prolétariat vers la libération de sa condition. Les résultats cauchemardesques parlent d'eux-mêmes.    

    Par ailleurs, nous condamnons toutes les religions en cela qu'elles sont génératrices d'illusions nous permettant d'accepter notre sordide condition de dominés et qu'elles mentent ou déraisonnent sur à peu près tout. Mais nous condamnons également toute stigmatisation d'une religion en particulier. Les adeptes du complot sioniste ou du péril islamiste sont de pauvres têtes mystifiées qui confondent la critique radicale avec la haine et le dédain. Ils ne sont capables de produire que de la boue. Si certains d'entre eux se disent révolutionnaires, c'est davantage en référence aux « révolutions nationales » des années 1930-1940 qu'à la véritable révolution libératrice à laquelle nous aspirons.

    La recherche d'un bouc émissaire en fonction de son appartenance religieuse ou ethnique est vieille comme la civilisation et elle n'est que le produit des frustrations de ceux qui cherchent des réponses rapides et simples face au véritable mal qui nous accable. Il ne peut y avoir d'ambigüité sur la nature de notre combat. Nous sommes favorables à l'émancipation de l'humanité toute entière, sans aucune forme de discrimination. Tout pour tous est l'essence du programme révolutionnaire auquel nous adhérons.


    Youtube: Mise en ligne le 19 oct. 2011


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  • Source: Les Moutons Enragés
    29 juin, 2013  Posté par voltigeur sous ciel et espace, Écologie, environnement et animaux, Réflexion

    Le discours final de Charlie Chaplin dans « le Grand Dictateur » ( The Great Dictator )
    Il est temps de mettre de côté nos différences et s’unir pour une vraie cause …
    Un comique a donné à un des discours les plus inspirants dans l’histoire.
    Si vous aimez ce que vous voyez partagez s’il vous plaît la vidéo de n’importe quel moyen ou réseaux que vous pouvez et transmettez le message, merci!


    Youtube: Mise en ligne le 18 janv. 2012

     


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  • Youtube: Mise en ligne le 23 juin 2011


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